Le rapport sur la mise en place de la #GrandeEcoleduNumerique c'est par ici : economie.gouv.fr/rejoindre-la-g…
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Les nouvelles écoles d'informatique/La GEN
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A lire ce 31/08/12 dans "VousNousIls" cette déclaration de Fleur Pellerin, ministre déléguée aux PME :
Fleur Pellerin a annoncé jeudi après-midi, à l'Université d'été du MEDEF, la création d'une mission pour diffuser "l'esprit d'entreprendre" dans les établissements scolaires. Cette mission "de réflexion" sera confiée à Philippe Hayat, fondateur de l'association "100 000 entrepreneurs". "L'entrepreneur n'est pas l'ennemi de notre politique et je tiens à le rappeler avec force", a déclaré Fleur Pellerin.
Un rapport "remis très rapidement" comportera des pistes "pas coûteuses pour les finances publiques", et visera à s'associer à l'Education nationale et l'enseignement supérieur "pour diffuser cet esprit d'entreprise, expliquer ce qu'est l'entreprise et populariser la notion d'échec utile, toutes ces notions qui existent aux Etats-Unis mais en France sont assez absentes des programmes scolaires".
La ministre déléguée aux PME, à l'Innovation et à l'Economie numérique veut par ailleurs développer des formations pour les métiers du numérique, et notamment créer une filière "adaptée à la demande des entreprises du secteur des nouvelles technologies" (développeurs, ingénieurs, designers...), susceptible de démarrer dès le collège jusqu'à un niveau Bac+5.
"Il y a un énorme problème de recrutement et de formation" dans ce domaine et "aujourd'hui la réponse est apportée par le secteur privé", qui est quasiment seul à créer des établissements spécialisés, "c'est quelque chose qui me dérange", a-t-elle regretté.
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Et du même auteur, sur un autre site : "La Web@cademie ouvrira ses portes à Lyon en avril 2013" .
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Évidemment, le recrutement un peu particulier de la web@cadémie explique pourquoi les élèves en échec scolaire s'en sortent mieux... puisque eux seuls sont admis. On ne peut donc pas dire qu'il s'agit d'une tendance du marché du travail.

Quant à penser que les élèves qui rentrent dans des écoles payantes sont tous des élèves "du premier rang"...

PS : http://www.zupdeco.org/webacademie/medi ... ademie.pdf
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Que de confusions : Muriel n'est pas une "étudiante" qui "a quitté le cursus avant d'avoir obtenu son diplôme", mais une élève du secondaire... Et pour ceux qui seraient vraiment "étudiants", il serait vain de parler de décrochage "scolaire".Apprendre à « coder » pour lutter contre le décrochage scolaire
Comment optimiser la formation pour mettre les compétences au service de l'emploi ? Plusieurs écoles, et entreprises proposent aux « décrocheurs », ces étudiants qui quittent le cursus avant d'avoir obtenu leur diplôme, de se former à l'informatique pour améliorer leurs chances d'entrer sur le marché de l'emploi.
Quand Muriel exprime son souhait de vouloir faire de l'informatique, elle est dirigée vers un BEP secrétariat. Comme beaucoup de décrocheurs, la jeune fille a été mal orientée. A 16 ans, après une première année de BEP, elle quitte ses études.

Quant à sa "mauvaise orientation", c'est surtout une non-orientation, les filières tertiaires professionnelles ne menant à aucun métier... Mais il ne tient qu'à ces écoles d'accueillir les élèves de la voie professionnelle en situation de décrochage. Curieusement le public des écoles d'informatique comme 42 n'est pas tout à fait identique à celui des filières professionnelles tertiaires.

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Une « grande école du numérique »
François Hollande est revenu sur l’éducation au numérique à l’école. « Le numérique sera enseigné, de l’élémentaire jusqu’à la terminale, avec des diplômes correspondants, et un plan sera présenté très prochainement ». Plus tard dans la conférence, le président de la République a annoncé la création d’une « grande école du numérique« . Elle « sera chargée de diffuser ses formations partout sur le territoire en plus de ce qui va être fait dans le cadre de l’enseignement », a-t-il expliqué.

www.vousnousils.fr/2015/02/05/conference...ur-leducation-562192
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Sur "Europe 1" du 6/03/15 : "Axelle Lemaire veut "former 10.000 élèves au numérique""
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Bref, s'il ne s'agit pas de délivrer un diplôme reconnu, autant délivrer un badge, comme sur les MOOC... On gage que ce sera vendeur sur le marché de l'emploi...Loys dit: ÉCOLE 2.0 - La secrétaire d'État au Numérique a détaillé le projet français de "grande école du numérique" sur Europe 1.
Présenté par François Hollande le 5 février dernier à l'occasion de sa cinquième conférence de presse générale, le projet de "grande école numérique française" avait depuis été laissé à l'écart. C'est la secrétaire d'État au numérique Axelle Lemaire qui a détaillé, vendredi sur Europe 1, ce projet qui devrait permettre de former "10.000 élèves" au numérique en France.
Un diplôme "global" mais non officiel… Pas d'établissement élitiste donc, mais plutôt une formation longue "de 3 à 24 mois", qui attribuerait un diplôme. Autre précision : il ne s'agira "pas un diplôme officiel de l'éducation nationale", mais plutôt d'une "labellisation octroyée à des qualifications de qualité". Pour cela, le gouvernement prévoit de sélectionner "50 lieux à même de donner ces formations" : écoles bien sûr, mais aussi associations ou universités seront concernées. Cette formation sera par ailleurs "gratuite", grâce à "des fonds à la fois publics et privés", a promis Axelle Lemaire.

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Avec un bac pro ou une licence pro, donc. Pas de question ?Certains ont décroché un bac professionnel, d'autres une licence pro. Une bonne partie n'a pas le bac. Parmi les 24 élèves ayant rejoint le 2 mars 2015 la première promotion de SimplonMars, les parcours sont hétérogènes. Mais un point commun transparaît : tous les jeunes sont issus des quartiers prioritaires de la ville et connaissent des difficultés d'insertion professionnelle.
La pédagogie par groupes y est légion, la formation par les pairs une seconde nature. [...]
Après les six mois de la formation – réalisée par un ancien "simplonien" devenu formateur –, les élèves partiront en entreprise, où ils mèneront leur propre projet entrepreneurial, pendant six mois ou un an. [...]
Quand le coût de formation par élève est d'environ 15.000 euros en école d'ingénieurs, il est estimé ici à 4.000 euros.

Ici c'est contradictoire...Le but est de répondre aux attentes des employeurs, qui "n’arrivent pas à remplir tous les postes disponibles et de réintégrer des jeunes, très en phase culturellement avec le numérique mais qui ont été exclus des parcours classiques.
Le label n’octroiera pas un diplôme "classique" de l’Éducation nationale ou de l’Enseignement supérieur. Mais il devrait permettre aux recruteurs d’être rassurés quant à la légitimité de la formation.

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Stéphane Distinguin est le fondateur de l’agence de développement Fabernovel :
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travail-emploi.gouv.fr/actualite-presse,...erique-la,18948.html50 formations existantes seront labellisées avant la fin de l’année.
L’État s’apprête à lancer sa Grande école du numérique. François Hollande a reçu jeudi le rapport de mise en œuvre qui devrait labelliser "50 structures" déjà existantes, avant la fin de l’année 2015. Cela devrait concerner 2.500 élèves, a précisé le chef de l’État. A terme, l’objectif est de pallier le déficit français en la matière. Il manquerait 50.000 développeurs en France, selon France Info.
La Grande école du numérique sera "ouverte à tous" et "partout sur le territoire". Il n’y aura donc pas de diplôme requis pour y être accepté et les enseignants auront des statuts différents : "Certains seront des enseignants de l’Éducation nationale ou de l’Université, d’autres seront des formateurs, des entrepreneurs, des utilisateurs…"
Mais l’État ne semble pas vouloir imposer un programme spécifique aux formations labellisées : les pédagogies pourront être "différenciées", les formations durer "trois mois" ou "deux ans". Seule exigence selon le chef de l’État, la "qualité". Et un objectif : "L’emploi." La Grande école du numérique aura donc "un très grand lien avec l’entreprise".
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Et d’aboutir à un constat : la Grande Ecole du numérique est une « utopie réaliste »

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Quant à cela ça me fait très peur:
Ok donc l'état passe à la caisse, et ne demande rien en retour? ça semble brillant.Nous avons veillé à ce que ces écoles n’aient que des avantages. Nous ne voulons surtout pas que leur fonctionnement soit alourdi, leur imposer un moule pédagogique, nous ne remettons pas en question leurs méthodes.
Par contre, ils se passent de l'éducation nationale pour leur «école du numérique» car son cadre est trop rigide, alors même qu'ils le rende eux-mêmes plus rigide? Qu'ils réduisent la liberté pédagogique des professeurs du public tout en vantant celle de ceux du privé?
Si je voulais privatiser complètement l'école je ne m'y prendrais pas autrement…
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Dans "EducPros" du 3/02/16 : "Grande école du numérique : l'enseignement supérieur peu impliqué"
www.letudiant.fr/static/uploads/mediathe...mations-original.pdf
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