Les neurosciences au cœur de la classe

www.franceculture.fr/emissions/rue-des-e...au-secours-de-lecole

C’est la grande controverse éducative contemporaine: quelle place donner aux neurosciences et aux sciences cognitives à l’école ? D'une certaine manière, le ministre de l’Éducation nationale a déjà tranché : il vient d’installer un Conseil scientifique de l’éducation qui fait la part belle aux spécialistes des neurosciences, avec à sa tête le chercheur le plus en vue sur la question, Stanislas Dehaene. Mais des voix s’élèvent pour critiquer ce qui pourrait être une vision limitée de l’éducation : le milieu social, les moyens donnés à l’école, le niveau et la qualité de la formation des enseignants ne sont-ils pas des facteurs décisifs pour expliquer la réussite ou l’échec des enfants ? La passion actuelle pour les neurosciences ne risque-t-elle de le faire oublier en essentialisant l'enfant et en évacuant la dimension politiques des choix en terme d'éducation? De plus, les apprentissages peuvent-ils s’expliquer uniquement grâce à des mécanismes mesurables ? Ne risquons-nous pas de nous abîmer dans un scientisme illusoire ? D’ailleurs... enseigner est-il une science ?
à lire La sociologie face aux neurosciences : l’enfant au cœur d’une bataille de disciplines

Avec

Elena Pasquinelli, chercheuse en philosophie, associée de l'institut Jean Nicod, membre de La Main à la pâte et, depuis janvier 2018, membre du Conseil scientifique de l'Éducation nationale.

Stanislas Morel, Sociologue, Maître de Conférences en sciences de l'éducation, Université de Saint-Étienne. Laboratoire Éducation, Cultures, Politiques.

www.vousnousils.fr/2018/03/22/pascale-to...our-apprendre-612931


Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.

amp.lepoint.fr/2206620

Loys écrit: Nouvel éditorial de Laurent Alexandre dans "L'Express" du 18/10/17 (en ligne le 23/10/17) : "L'Education doit libérer ses innovateurs"

Suite le 25/04/18 : "Bien lire, c'est génétique. Pourquoi Bourdieu avait tort"


Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.

Bonsoir,
j'aime beaucoup les gens du genre Laurent Alexandre.

Ils savent ce qu'est l’intelligence, ils savent la mesurer et ils sont capables de donner des valeurs numériques prouvant que les « classes inférieures » le sont génétiquement.

Et il est évident qu'ils sont génétiquement supérieurs.

Ceci étant j'aime bien l'usage du conditionnel dans son article.

S'il a tort, il n'a rien affirmé.

Et, de ce fait, je le trouve assez méprisable.

Visiblement le consensus scientifique est loin d'être acquis. En témoigne cette tribune répondant à Laurent Alexandre : www.lemonde.fr/sciences/article/2018/04/...5290360_1650684.html

Quelque chose est masqué pour les invités. Veuillez vous connecter ou vous enregistrer pour le visualiser.

13/05/2018 : www.lepoint.fr/societe/et-bientot-la-neu...-2018-2218016_23.php

27/05/2018 sur "France Culture" : "Les neurosciences au coeur de l'éducation?"

Philippe Watrelot écrit: Outre l'enfonçage de portes ouvertes (comme ici), quand j'écoute les neuroscientifiques, je me dis qu'ils ne font que confirmer les intuitions des pédagogues (et notamment de la pédagogie nouvelle et des méthodes actives) depuis une centaine d'années