Résultats de recherche (Recherche de : longhi)

16 Mar 2017 18:21 - 16 Mar 2017 18:47
Réponse de Loys sur le sujet La différenciation pédagogique
Dans le "Café" du 16/03/17 : "L'accompagnement personnalisé dans le quotidien de la classe"

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20 Déc 2016 16:01
"Manifeste pour une pédagogie renouvelée, active et contemporaine" par Marc-André Girard, Sylvain Bérubé, Marie-Andrée Croteau, Jocelyn Dagenais, Josée Desbiens, Marie-Claude Gauthier, Catherine Lapointe, Audrey Miller, Anick Sirard.

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Dans le "Café" du 20/12/16 : "Innovation : Marc André Girard : Manifeste pour une pédagogie renouvelée"

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11 Oct 2016 17:23 - 11 Oct 2016 17:30
Réponse de Loys sur le sujet Autorité et discipline à l'école
Dans le "Café pédagogique" du 11/10/16 : "Bruno Robbes : « Je ne suis pas entré dans l’enseignement pour faire le flic »"

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11 Sep 2016 23:36 - 11 Sep 2016 23:41
Réponse de Loys sur le sujet Carte scolaire et mixité
Dans le "Café pédagogique" du 8/09/16 : "Mixité sociale : L'incomplet du quinquennat "

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Et : "Mixité sociale : Quelle pédagogie pour vivre ensemble ?"

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04 Avr 2015 21:43
Réponse de Loys sur le sujet Inégalités... et discrimination
Dans le "Café" du 18/03/15 : "Xavier Nau : Lutter contre les inégalités à l'école"

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25 Fév 2015 23:53 - 25 Fév 2015 23:57
Il y a des "pédagogues" dont l'activité essentielle, face à la difficulté scolaire, est de mettre la tête sous l'eau de ceux qui l'affrontent au quotidien.
Rappelons que pour M. Longhi "la plupart des projets d’établissements et des règlements intérieurs sont des œuvres de tératologie" (sic). Pour mémoire Gilbert Longhi est un ancien proviseur du lycée autogéré Jean-Lurçat à Paris. Il est chargé de cours et chercheur associé en sciences de l’éducation à l’université de Paris X et préside l’observatoire déontologique de l’enseignement.

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25 Fév 2015 15:20 - 25 Fév 2015 23:48
LA CRITIQUE EST FACILE, L'ART EST DIFFICILE.
Que constate ce monsieur Longhi ?
Qu'il y a un fort taux d'absentéisme en LP... C'est vrai, je le confirme de par mon expérience, en particulier en milieu urbain et dans des sections d'enseignement peu attractives.
À quoi attribue-t-il ce fait ?
En gros, à la violence institutionnelle et au manque de bienveillance dont fait preuve le LP. Par exemple, des emplois du temps mal construits décourageraient les élèves de venir en cours... Ainsi, ces pauvres enfants seraient les victimes d'une "maltraitance scolaire structurelle"... "Fautif", l'absentéiste chronique serait condamné à "expier" son manque d'assiduité... Étrange terminologie religieuse, sauf à considérer l'école comme une église autoritaire et culpabilisante. Passons.
Et si on essayait d'être moins caricatural et consternant, pour ne pas dire "c..." tout court ?
Bref, si on sortait des clichés et autres idées préconçues de sociologues de salon et d'experts en chambre pour examiner la réalité crue, telle qu'elle est, avec ses tenants et aboutissants.
L'absentéisme est particulièrement fort dans des sections peu attractives, celles du tertiaires par exemple. Ces sections (GA et vente) sont pléthoriques en France, car elles ne sont pas trop coûteuses en équipement (pour les Régions qui les financent) et qu'elles occupent donc et forment à moindre frais des élèves en masse. De sorte que de nombreux élèves se retrouvent affectées dans ces formations,qu'ils l'aient vraiment choisi ou non, parce qu'il y a de la place disponible.
Est-ce à dire que trop d'élèves ont été mal orientés, et se désintéressent donc de leur formation ?... Admettons.
Lorsque vous avez affaire à des jeunes filles qui rêvent d'être chanteuses de télé-réalité et des garçons qui s'imaginent en nouveau Zidane... Bref, quand vous avez des jeunes qui veulent devenir des "stars" pour gagner beaucoup d'argent et pouvoir consommer donc exister (puisque l'avoir prime sur l'être, dans notre société de consommation), vers quoi les orientez-vous ?...
Admettons encore que certains élèves puissent être mieux orientés... Si tant est qu'ils aient le niveau requis. Car on n'intègre pas certaines formations seulement parce qu'on le désire. Encore faut-il en avoir les capacités, surtout lorsque ce sont des filières à effectifs réduits. Il y a des LP d'excellence, mais ce sont des LP dans des secteurs de niche, où l'emploi existe à la sortie. Et ces LP sont sélectifs, forcément, car le taux de pression à l'entrée y est élevé. Et l'absentéisme est plus réduit dans ces établissements, car la motivation des élèves existe : ils savent que leur formation débouchera sur un travail. Ainsi, le seul LP public de France dédié à la lunetterie, à Morez dans le Jura, n'a ni problèmes de recrutement, ni soucis d'absentéisme...
En effet, le problème majeur du LP, c'est qu'à la sortie, l'emploi ne suit pas.
"Au total, fin décembre 2014, le nombre de demandeurs d'emploi de catégories A, B, C s'établit à 5 218 200 en métropole (5 521 200 Dom compris). Ce nombre est en hausse de 0,8% sur un mois (+41 900) et de 6,4% sur un an (+311 900)." Dont 800 000 jeunes de moins de 25 ans. (Source JDN)
Sans l'appel d'air que constitue la possibilité de trouver un emploi sûr à la sortie, comment motiver des jeunes ?
Il y a là un problème économique et social que l'école ne peut résorber. Quoi qu'elle fasse.
Monsieur Longhi peut toujours s'amuser à bousculer les emplois du temps pour complaire aux élèves, ça ne changera rien à la réalité sociale. C'est un cautère sur une jambe de bois. Et c'est surtout se saisir du problème par le mauvais bout.
Ce monsieur Longhi le fait-il par ignorance ou hypocrisie ?... Je ne sais, mais ça m'énerve !
Je pourrais aussi parler à l'envi du déficit d'encadrement éducatif et du laisser-aller parental qui expliquent aussi l'absentéisme. Ainsi, pour avoir travaillé longtemps en LP urbain classé ZEP et en LP rural, je note que l'absentéisme est plus élevé à la ville qu'à la campagne. Constat empirique : il me semble donc que la vigilance éducative des parents est plus forte chez les ruraux que chez les urbains. Une suggestion : ne devrait-on pas, comme le préconisait (prétendument) Alphone Allais, envisager de "déplacer les villes à la campagne" ?
Quant à la bienveillance dont le LP ferait défaut selon ce monsieur Longhi, qu'il vienne donc constater par lui-même si c'est le cas... Je me souviens encore de ces élèves de T BAC PRO secrétariat auxquelles je téléphonais tous les matins pour les réveiller et qu'elles viennent en cours... Peut-on se montrer plus bienveillant sans verser dans la démagogie ?... Et n'est-ce pas déjà trop si l'on veut former des adultes autonomes et responsables ?...
Bref, j'ignore qui est ce monsieur Longhi. Je ne suis pas un expert patenté du CP. Je n'ai que 25 ans d'expérience en LP à lui opposer en guise d'expertise. Mais je suis écoeuré par la bêtise et la démagogie de ses propos.
C'était mon coup de gueule du jour ! :fur
25 Fév 2015 15:05 - 25 Fév 2015 15:31
Vu sur le "Café Pédagogique" cet article édifiant : "Lycée professionnel : L’école de l’absence ?" (25/02/15)

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03 Déc 2014 22:34
Dans le "Café" du 3/12/14 : "La honte a-t-elle sa place en éducation ? "

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01 Déc 2014 00:30
Dans le "Café" du 28/11/14 : "Faut-il scolariser les tablettes pour les faire entrer à l’école ?"

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12 Oct 2014 23:01
Dans le "Café" du 10/10/14 : "Comment expliquer la dévalorisation de la voie professionnelle ?" , entretien avec l'inspecteur général et sociologue, Aziz Jellab.

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08 Juil 2014 11:23
Réponse de Loys sur le sujet Inégalités... et discrimination
A lire dans le "Café" du 8/07/14 : "La subversion pédagogique - Interview de Grégory Chambat"

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21 Mai 2014 12:36
Réponse de Loys sur le sujet La suppression des notes
Dans le "Café" du 21/05/14 : "Evaluer positivement dans la classe : La méthode PIPADI " .

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02 Avr 2014 07:57
Dans le "Café" du 02/04/14 : "L’instruction sans école" par Gilbert Longhi

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22 Mar 2014 18:53 - 23 Jan 2015 22:51
Réponse de Loys sur le sujet La suppression des notes
A lire sur "EducPros" du 21/03/14 : "Le bulletin, symbole des attentes de l'institution scolaire" par Emmanuel Davidenkoff.

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11 Mar 2014 20:16 - 15 Déc 2015 10:18
Réponse de Loys sur le sujet La suppression des notes
De nouveaux conseils de Gilbert Longhi dans le "Café" du 11/03/14 : "Les appréciations : Une bonne intention parfois mal maîtrisée" .

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Article republié (sans le préciser) le 15/12/15 : www.cafepedagogique.net/LEXPRESSO/Pages/...857564179404938.aspx
17 Fév 2014 16:07
A lire dans le "Café pédagogique" du 17/02/14 : "L’ennui en classe" par Gilbert Longhi.

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20 Jan 2014 19:07 - 24 Oct 2015 18:15

Avec quelle culture faut-il cultiver les jeunes ?
Quatre cents ans avant notre ère, si l’on en croit Platon : les pères laissaient faire les enfants, les fils ne tenaient pas compte de leurs paroles, les maîtres tremblaient devant leurs élèves et préféraient les flatter, finalement les jeunes méprisaient les lois parce qu'ils ne reconnaissaient plus au-dessus d'eux l'autorité de rien ni de personne…

Comprendre donc que Platon déjà était un réactionnaire "pédophobe" pour reprendre la sympathique terminologie de M. Longhi. Sauf que :
1) Ce n'est pas Platon qui donne ainsi son opinion, mais le personnage de Socrate dans La République, dans une discussion sur les différents régimes politiques et leur dégénérescence, de l'aristocratie à la tyrannie.
2) Il ne s'agit pas d'une considération sur l'époque contemporaine de Socrate, et donc d'un témoignage historique comme le suppose M. Longhi, mais d'une réflexion politique générale sur la tyrannie. Le présent qu'il emploie est un présent de vérité générale, et non un présent d'énonciation. Socrate ne fustige donc pas la jeunesse en général, ni même la jeunesse de son époque, mais la jeunesse des sociétés qui se précipitent dans la tyrannie. Il n'y a ici aucun stéréotype de la jeunesse.
3) Enfin Socrate fustige non pas la jeunesse, comme voudrait le faire croire M. Longhi, mais la société toute entière : "les anciens, s'abaissant au niveau des jeunes, se gavent de bouffonneries et de plaisanteries, imitant les jeunes pour ne pas paraître désagréables et despotiques."
Bref M. Longhi fait au moins trois graves erreurs d'interprétation du texte platonicien, qu'il ne cite d'ailleurs - pour la commodité de sa démonstration - que sous une forme très dégradée et totalement contradictoire ("les pères laissaient faire les enfants, les fils ne tenaient pas compte de leurs paroles"). Le texte de Platon est bien plus cohérent ( en grec ancien ici ) :
La République, VIII, 562b-563e

Peu ou prou, on croirait lire du Finkielkraut écrit deux millénaires après Jésus-Christ

Plutôt peu que prou compte tenu de l’inexactitude de la citation. :mrgreen:
Du coup M. Longhi ne serait-il pas en train de développer un stéréotype sur l'âge adulte ? :transpi:

...il y avait l’autorité du prêtre, il y avait l’autorité du maître, il y avait l’autorité de l’auteur, tous ces sur-moi sont engloutis dans le grand pêle-mêle numérique.

L'autorité du prêtre ou de l'auteur ne sont pas évoqués par Socrate...
S'agissant de l'autorité de l'auteur, elle est effectivement engloutie dans un projet comme celui de Wikipédia.

Certains prônent donc le retour à des fondamentaux éducationnels qui naguère ont fait leurs preuves.

Quelle idée aussi, qu'un auteur (auctor) ait la moindre autorité (auctoritas) ! Hâtons-nous de découvrir l'auteur moderne, c'est-à-dire n'ayant aucune autorité ! :cheers:

Ces rétro-pédagogues donnent un sens à la vie des jeunes...

On pourrait tout aussi bien considérer ceux qui nient l'importance de la pédagogie, les constructivistes et socio-constructivistes par exemple, comme des rétro-pédagogues.

...mais c’est un sens giratoire qui atteint un summum dans l’éducation religieuse quand elle développe une logique implacable ; par exemple : Qu’est-ce que pécher sinon prétendre … disposer de nous-mêmes… C’est le refus de notre condition de dépendance .

Prêtre et instituteur, même combat ! :cheers:

Y a-t-il une culture scolaire ?
L’éducation nationale n’a pas de définition officielle de la culture. Sans une telle précision comment évaluer le bagage culturel que devrait posséder un élève ?

La culture n'est pas un produit standardisé.

Le serveur Spinoo consacré aux parutions officielles, décline le terme plus de cent vingt mille fois : culture générale, culture technique , culture commune , cultures d’origine. Il arrive même que la culture générale désigne une simple matière d’examen avec ses attributs standard (référentiels, notation, épreuves et devoirs).
La reconnaissance d’un illettrisme propre aux collégiens scolarisés depuis leur prime enfance a poussé Jack Lang dès 2002, à faire identifier une culture scolaire commune optimale.

C'est à un "illettrisme" au sens propre que doit faire face l'école, et pas seulement à un manque de culture.

Les polémiques de l’époque s’organisaient autour de deux axes. D’une part, les partisans présentaient cette culture comme un seuil de connaissances irréductible pour chaque citoyen ; comme une sorte de rempart face à la sous-culture des cités (banlieues, ghettos). D’autre part, les adversaires de la culture scolaire commune l’accusaient d’être un SMIC de l’instruction susceptible de stigmatiser les élèves des couches défavorisées à qui on le destinait in extremis avant une sortie définitive du système éducatif. Parallèlement, des critiques de toutes sortes renvoyaient dos à dos les deux camps en notant que toute culture scolaire restait déconnectée de la réalité du monde (notamment professionnel) et que sa genèse même la condamnait à n’être qu’une vulgaire convention ayant seulement son utilité intestine pour sélectionner les élèves les plus orthodoxes.

C'est vrai : j'enseigne la littérature à la seule fin de permettre la reproduction des élites.

Faire taire les élèves pour les cultiver…
Paul Ricœur a publié dans Esprit en 1955 la phrase suivante : Qu'est-ce que je fais quand j'enseigne? Je parle (..). La parole est mon travail, la parole est mon royaume. Et Finkielkraut ajoute : Aujourd'hui que dit-on au prof ? Tais-toi. Fais parler les élèves ou fais-les pianoter devant un écran. Accueille les intervenants extérieurs bien plus marrants que toi (…) Bref, mets fin au règne de la parole professorale.

C'est bien résumé. Un exemple parmi d'autres : "Un cas D'Col du numérisme" ...

Quel statut l’École confère-t-elle à la parole des élèves ? Le plus souvent elle la signale comme un péril...

Cette affirmation est d'un grotesque achevé (voir les programmes officiels cités plus bas)... :shock:

... les élèves parlent à tort et à travers (bavardages), échangent des moqueries, profèrent des invectives à l’encontre des professeurs…

C'est effectivement ce qui arrive quand la parole n'est pas encadrée.

Dans la culture scolaire standard, la conduite normale des élèves consiste à écouter l’enseignant en silence.

Et voilà comment un nouveau pédagogue caricature l'école. Bien sûr que les élèves, lorsque l'enseignant parle, doivent l'écouter en silence : ils devraient l'écouter dans le bruit ? Mais ce qu'oublie évidemment d'ajouter Gilbert Longhi, c'est qu'il n'existe aucun cours ou presque où un professeur ne donne la parole à ses élèves.

Aux origines de l’enseignement obligatoire, la pédagogie « Jules Ferry » estime qu’aucun élève ne doit parler sauf s’il est sollicité par l’instituteur.

Alors que Gilbert Longhi estime qu'un élève doit pouvoir parler quand il le veut. :doc:
Et quand les élèves sont vingt, trente ou presque quarante, le résultat est très profitable aux élèves. Et ne parlons pas des publics difficiles où la prise de parole vise systématiquement à empêcher le cours de se dérouler.

Parfois la parole des élèves devient une opportunité didactique par exemple sous forme de récitation par cœur, ou de répétition en chœur.

Nouvelle caricature : faire réciter un élève est tout sauf lui donner la parole.

De plus, dans la vie collective de la classe, la contention de celui qui parlerait trop prend un sens républicain puisqu’il s’agit de répartir équitablement la parole entre tous les élèves. Donc, on fait taire ce qui ont des choses à dire au motif que d’autres pourraient également avoir à s’exprimer… L’interdiction de parler en classe est donc citoyenne.

:shock:
Troisième caricature : demander à un élève de modérer sa prise de parole au profit des autres, c'est le "faire taire". Et distribuer la parole, c'est "interdire de "parler".
Conclusion implicite de cet article : la répartition ordonnée de la parole en classe et l'écoute (pour le maître mais aussi pour les autres élèves, ce qu'oublie de préciser Gilbert Longhi) sont des exigences réactionnaires. Un élève doit pouvoir "s'opposer violemment [...] en paroles et en actes" pour reprendre l'expression de Socrate. :doc:
Que propose donc M. Gilbert Longhi ? :devil:
Puisse-t-il venir donner l'exemple dans des classes difficiles !
Et quel rapport avec la question initiale ("Avec quelle culture faut-il cultiver les jeunes ?") ? :scratch:
20 Jan 2014 18:39
A lire dans le "Café pédagogique" du 20/01/14 : "Culture de toujours, Jeunes d’aujourd’hui, Pédagogies d’autrefois"

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23 Déc 2013 14:06 - 23 Déc 2013 14:07
A lire dans le "Café pédagogique" du 04/10/13 : "Caporal, curé, laquais ? Qu’est-ce qu’un enseignant ?" par Gilbert Longhi.

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29 Nov 2013 07:37 - 29 Nov 2013 07:39
Réponse de Loys sur le sujet Le traitement des enseignants
Article très revigorant du "Café pédagogique" ce 29/11/13 : "Entrer dans l’Éducation nationale ? : "Je préfère voir le salaire comme l’inconvénient d’un métier dans lequel je pourrai m’épanouir…"

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Voilà un exemple d'étudiant à "l'éthique sociale affirmée". :devil:
15 Oct 2013 23:28 - 16 Oct 2013 10:08
Autant aller directement à la conclusion pleine de fraîcheur de Gilbert Longhi :

La plupart des projets d’établissements et des règlements intérieurs sont des œuvres de tératologie : l’élève est un repoussoir, voire une sorte de phénomène anormal.

Que ne présente-t-il pas un modèle de règlement intérieur à visage humain ? :mrgreen:
15 Oct 2013 23:27 - 15 Oct 2013 23:27
Dans la même veine malgré un titre assez neutre : "Approche lexicale de quelques projets d’établissements & de quelques règlements intérieurs…" (14/10/13)

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28 Aoû 2013 12:14
A lire dans le "Café Pédagogique" cette interview de Gabriel Cohn-Bendit : "Pour une autre école . Vite !"

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05 Juil 2013 11:33 - 28 Avr 2014 17:05
A lire dans le "Café Pédagogique" du 05/07/13 : "Façons de parler : Injures, insultes, jurons et autres noms d’oiseaux en éducation disséqués par Gilbert Longhi" .

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Dans la même veine : "Les mots de trop et les gros-mot à l'Ecole... " dans le "Café pédagogique" du 28/04/14.

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28 Jui 2013 22:09 - 28 Jui 2013 22:09
Et dans le "Café Pédagogique" du 28/06/13 : "Un lycée virtuel pour que les élèves approchent mieux la réalité de leurs études..."

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www.letudiant.fr/ma-vie-de-lyceen.html
15 Mar 2013 15:55
Dans la même veine, cet entretien de Jacques Pain par Gilbert Longhi, sur le "Café Pédagogique" du 15/03/13 : "J. Pain : L’école se comporte comme une marâtre à l’égard du commun des élèves" .


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05 Mar 2013 15:04
A lire dans le "Café Pédagogique" du 5/03/13 : "Dix conseils pour…Développer une bienveillance scolaire globale" .


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Une précision : Gilbert Longhi est un ancien proviseur du lycée autogéré Jean-Lurçat à Paris. Il est chargé de cours et chercheur associé en sciences de l’éducation à l’université de Paris X et préside l’observatoire déontologique de l’enseignement, qu'il cite au début de l'article.
26 Sep 2012 15:25
Sur RSLN, cet article du 26/09/12 : "L'Etudiant lance un lycée virtuel pour conseiller les élèves" .


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