Difficile à apprécier puisque le MEN ne rend jamais public le nombre de démissions annuel. #transparence
Les démissions d'enseignants
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D'après le site "Aide aux profs" (non daté) :
aideauxprofs.org/index.asp?affiche=News_...ssion&ArticleID=4071Alors que le Président de la République François HOLLANDE continue d’affirmer qu’il fera recruter 60.000 professeurs durant son quinquennat, Aide aux Profs constate que la Refondation n’a en rien concerné la transformation des Ressources Humaines. Alors que notre pays manque d’enseignants, l’administration s’ingénie à les pousser à la démission, au lieu de trouver une solution de conciliation plus respectueuse de l’investissement passé de l’enseignant.
En 2014-2015, plus de 1.200 enseignants, professeurs-stagiaires inclus, ont démissionné. C’est 4 fois plus qu’il y a 5 ans. Même si le nombre demeure négligeable à l’échelle de la masse enseignante, il ne laisse pas d’inquiéter. Si les étudiants qui se préparent à ce métier se rendent compte qu’il se refermera sur eux comme un piège, avec pour seule issue la démission ou l’abandon de poste (de plus en plus de jeunes enseignants nous confient avoir choisi cette solution, car leur démission leur avait été refusée), on se demande ce que deviendra le métier d’enseignant lorsque la France aura retrouvé le plein emploi.
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Aux Etats-Unis, voir ce fil qui conteste les estimations de Ingersoll (lesquelles, il est vrai, inclut les écoles privées) mais fournit des chiffres impressionnants malgré tout pour les écoles publiques : www.laviemoderne.net/forum/mirabilia/829...-way-of-school#21696
En France, enfin quelques chiffres : "AVIS PRÉSENTÉ au nom de la commission de la culture, de l’éducation et de la communication sur le projet de loi de finances pour 2017 ADOPTÉ PAR L’ASSEMBLÉE NATIONALE, TOME III ENSEIGNEMENT SCOLAIRE Par M. Jean-Claude CARLE et Mme Françoise FÉRAT, Sénateurs."
Extrait pp. 35-36 :
En dépit d’un réel effort en faveur de l’attractivité de la profession de professeur des écoles, que votre rapporteur pour avis salue, la politique de recrutements massifs menée par le ministère se heurte à d’importantes difficultés et présente plusieurs risques.
Année après année, les concours externes de recrutement de professeurs des écoles ne sont pas parvenus à pourvoir l’ensemble des postes offerts, en particulier dans les académies jugées les moins attractives : 744 postes sont restés vacants lors du concours exceptionnel 2014, 283 en 2015 et 561 en 2016.
Lorsque ces postes ont été pourvus, le risque d’une baisse des exigences de recrutement est réel. Certaines académies connaissent des ratios candidats présents/postes offerts très faibles, qui présagent d’une sélectivité faible des concours : il s’élevait pour la session 2016 à 1,84 dans l’académie d’Amiens, 1,21 dans l’académie de Créteil, 1,95 dans l’académie de Dijon ou encore 1,19 dans l’académie de Versailles. L’inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche (IGAENR) s’est fait l’écho des préoccupations de votre rapporteur pour avis, relevant qu’« il semble bien que dans certaines académies, des candidats au niveau problématique aient été admis pour ne pas laisser inoccupés trop de postes ».
De plus, l’IGAENR souligne que le « caractère académique du concours renforce les inégalités territoriales entre les académies et même entre les départements au sein d’une même académie ». La comparaison de la moyenne obtenue par le dernier admis au concours externe en 2015 révèle des disparités importantes entre académies : si elle s’élève à environ 12/20 dans les académies de Bordeaux, de Nantes et de Grenoble, voire à 13,7/20 dans l’académie de Montpellier, la moyenne du dernier admis se situe autour de 9/20 dans les académies d’Amiens, de Limoges ou de Dijon. Ces inégalités territoriales sont renforcées par le fait que « l’affectation des lauréats du concours au sein des départements d’une académie s’opère à partir des vœux des candidats et des notes obtenues ». Dans l’académie de Versailles, l’Essonne et le Val-d’Oise, qui accueillent 531 candidats classés entre la 900e et la 1430e place, « comptabilisent à eux deux 81 % des renoncements enregistrés dans l’académie et la totalité des démissions ».
En outre, les chiffres communiqués par le ministère au sujet des démissions d’enseignants révèlent une progression inquiétante du phénomène auprès des enseignants stagiaires, particulièrement dans le premier degré. Le ministère n’a pas fourni d’explication à cette augmentation du taux de démission des enseignants stagiaires, lequel triple dans le premier degré et double dans le second entre les années scolaires 2012-2013 et 2015-2016. Le caractère éprouvant de l’année de stage, pendant laquelle les stagiaires doivent assurer un service d’enseignement à mi-temps, suivre leur formation et mener un travail de recherche, a été mis en avant par plusieurs des syndicats interrogés par votre rapporteur.
Pas de chiffres officiels publiés par le MEN.
Un article sur les possibilités de seconde carrière dans le "Café pédagogique" du 23/11/2013
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www.lesechos.fr/politique-societe/societ...ndissent-2054506.php
Globalement, les démissions sont toujours variables d'une année à l'autre mais, sur la masse globale, elles restent extrêmement faibles, de l'ordre de 0,1 % », relativise le ministère de l'Education nationale. Où l'on précise que, de fait, « la comparaison d'une année sur l'autre n'a pas grand sens » et que « le choix de la comparaison entre 2012, année avec assez peu de démissions, et 2016, année avec un peu plus de démissions, est un non-sens ».
Les chiffres, rendus publics pour la première fois, sont pourtant « significatifs » concernant les démissions de stagiaires dans le premier degré, estime Christian Chevalier, secrétaire général du SE-UNSA. Même s'ils n'ont, selon lui, rien de dramatique, bien au contraire : « Mieux vaut, pour les élèves, qu'il y ait des professeurs qui aient envie de travailler, c'est plutôt sain de démissionner lorsqu'on se rend compte qu'on n'est pas fait pour ce métier. »
Au SNUipp-FSU, les chiffres n'inquiètent pas non plus. Pour sa secrétaire générale, Francette Popineau, « il y a eu davantage de recrutements, et mécaniquement une proportion plus importante de démissionnaires ».
www.alterecoplus.fr/philippe-watrelot/ex...enseignants/00012938
Il ne s’agit donc pas de nier l’augmentation de ces démissions et encore moins qu’il y ait un problème. Mais beaucoup de personnes se sont déjà emparées de ces données pour alimenter un discours décliniste et de déploration. Lorsque les auteurs du rapport parlent de « progression inquiétante », on ne peut non plus exclure qu’ils forcent le trait avec une arrière-pensée politique… Il faut donc relativiser. Et surtout s’interroger sur les raisons de ces démissions. [...]
Et si finalement, la profusion d’articles sur ce sujet nous montrait surtout que dans l’imaginaire collectif, enseigner n’est pas tout à fait un métier comme un autre ?
Car, c’est presque une banalité de le dire, on a toujours une représentation de l’enseignement qui reste fortement marquée par une représentation presque « religieuse » du métier. Le vocabulaire religieux est très présent : on parle de « vocation », de « sacerdoce », de « mission » et donc l’inverse (la « dé-mission ») est vu comme une sorte d’apostasie ou plus simplement un renoncement (et un échec)…
Si on considère que nous exerçons un métier, alors il faut admettre qu’on puisse y rentrer et en sortir à tout moment. Je me réjouis quand je vois des personnes qui ont eu une autre vie professionnelle envisager l’enseignement comme une seconde carrière, pourquoi faudrait-il s’inquiéter outre mesure quand d’autres dans le même temps le quittent ? Et si « Prof à vie » c’était fini ?
www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/...192838693534285.aspx
Pourtant les données livrées par le rapport Carle nous semblent à relativiser fortement.
D'abord parce que ces taux français sont extrêmement bas par rapport à ce qu'on trouve dans les autres pays. Au Royaume Uni, en 2011 40% des professeurs stagiaires ont quitté le métier durant leur première année en poste, soit 10 800 enseignants qui se sont évaporés. Une étude de la National Foundation for Educational Research (NFER) en 2016 montre, toujours au Royaume Uni, que 8% des enseignants ont démissionné en 2015 contre 6% en 2011. Remis à l'échelle de la France cela représenterait près de 68 000 enseignants chaque année !
L'étude anglaise est aussi éclairante par les motifs quelle donne à ces départs. Les professeurs s'en vont parce qu'ils ont trop de travail et, entre autre à cause de réformes jugées trop fréquentes. Ils partent aussi car ils ont trop de pression hiérarchique ou parce qu'ils sentent que leur métier se dévalorise. Voilà des raisons qui semblent un peu universelles...
Il faut donc se demander pourquoi les taux de départ ne sont pas aussi forts en France. Il y a à cela des raisons administratives. Le nombre de démissions dépend d'abord des autorisations de l'administration. Or elle préfère garder les enseignants quitte à trouver des arrangements comme le congé. Autrement dit, sans ces efforts, le nombre réel serait plus fort encore.
Mais il faut sans doute aussi prendre en compte un facteur plus général mais qui a une intensité variable des deux coté de la Manche. Le métier enseignant est peut-être en train de changer. Quand on écoute les nouveaux enseignants, la moitié seulement se voit faire ce métier toute leur vie. La progression des départs que l'on constate au Royaume Uni comme en France tient aussi à cette évolution.
François Jarraud
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www.karsenti.ca/decrochage/files_files/R...Thierry_Karsenti.pdf
www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/...318135510709390.aspx
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Le bilan social de l'éducation nationale montre une forte hausse des démissions chez les enseignants :
1er degré : ↗️constante depuis 6 ans : 289 démissions en 2012-13, 861 en 2017-18 ;
2nd degré : ↗️constante depuis 4 ans : 351 démissions en 2014-15, 538 en 2017-18.
Le bilan social de l'éducation nationale montre une forte hausse des démissions chez les enseignants : 1er degré :… twitter.com/i/web/status/1…
Pour rappel, selon le baromètre 2019 de l'UNSA , 72% des enseignants déconseillent le métier et que 38% souhaitent changer de métier dans les prochaines années
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www.vousnousils.fr/2020/05/19/hausse-des...ion-nationale-631858
0,2 % des enseignants, soit 1 417, ont démissionné entre la rentrée 2017 et 2018. Ce pourcentage « augmente puisqu’il était de 0,08 % en 2013-2014. », note la Depp, ajoutant que « la hausse des démissions est sur ces cinq dernières années d’environ 200 démissionnaires en plus chaque année. »
Ces démissions touchent davantage les professeurs des écoles : leur taux de démission est de « 0,24 % contre 0,18 % des certifiés, 0,14 % des agrégés et 0,10 % des PLP ». Mais les démissions sont surtout beaucoup plus fréquentes parmi les enseignants stagiaires, quel que soit le corps : « 2,6 % d’entre eux démissionnent contre 0,3 % des titulaires ayant moins de cinq ans d’enseignement et moins de 0,1 % de ceux qui enseignent depuis au moins cinq ans. », peut-on lire.
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Quatre fois plus de démissions (de 364 à 1417) d'enseignants en une décennie (2008-2017), l'essentiel concernant les stagiaires (cinq fois plus).
Progression des démissions d'enseignants du public, 2008-2017 education.gouv.fr/bilan-social-d… (rappel : pourquoi j'ai quitt… twitter.com/i/web/status/1…
Et en janvier 2020 mise en place de la rupture conventionnelle pour les fonctionnaires.
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@SnesSarthe @cafepedagogique @laviedesidees @SNUipp_FSU Dans mon collège rural, 4 départs de collègues en 1 an ! Du… twitter.com/i/web/status/1…
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Dans "Télérama" (abonnés) du 28/09/21 : "Tous ces enseignants qui jettent l’éponge : c’est grave, professeur ?"
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Voilà notre stagiaire d'anglais vient de poser sa démission. La bagarre de trop dans son cours. Elle n'en peut plus… twitter.com/i/web/status/1…
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Le ministre donne les chiffres des démissions, en 2020-2021 : 937 dans le 1er degré ; 617 dans le 2nd, soit près de 1 600. En comparaison, il y en avait 637 en 2012-2013 et 1 399 en 2017-2018. [...] En 2020, 296 ruptures conventionnelles ont été signées dans l’Éducation nationale, pour 1 219 demandes.
A priori sans les démissions de stagiaires.
Le ministre donne les chiffres des démissions, en 2020-2021 : 937 dans le 1er degré ; 617 dans le 2nd, soit près de… twitter.com/i/web/status/1…
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Dans le détail, indique le ministère dans sa réponse au député, “plus de 60 %” des ISRC versées en 2020 l’avaient été par le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports (253) et par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (3). Deux ministères qui centralisent toujours la majorité des ruptures conventionnelles, à savoir 73 % des ISRC versées aux agents publics sur la première partie de l’année 2021.
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Le rapport met en avant le malaise des enseignants : un quart d’entre eux se demandent s’ils n’auraient pas mieux fait de choisir une autre voie professionnelle, selon un sondage réalisé pour le Sénat en janvier.
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Selon un sondage réalisé pour la National Education Union, 44% des professeurs anglais prévoient de démissionner dans les 5 années à venir. 22% veulent partir dans les 2 ans. Parmi les raisons invoquées, 65% citent en premier la masse de travail "ingérable". Les autres motifs ne surprendront pas : la profession est déconsidérée dans le public et dans le gouvernement et la paye est trop faible.
Aux Etats-Unis : www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/...856016291642014.aspx
Une étude faite par le Merrimack College auprès de plus d'un millier d'enseignants américains pour la revue Edweek décrit une crise profonde du métier enseignant qui nous rappelle quelque chose. Seulement 12% des enseignants se déclarent satisfaits. Plus de 40% veulent quitter le métier dans les deux ans. La revue souligne que depuis deux ans les enseignants sont au coeur des polémiques du fait de la politique contre le covid d'une part et des lois interdisant de parler de race ou de genre.
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