.@Academie_Paris @Edu_Num normal que le FIP dise aux profs parisiens que l'usage scolaire de Twitter est interdit ?! #EcoleNumérique #OuPas
Twitter à l'école
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Décupler = multiplier par dix.Twictée : l'enseignement de l'orthographe décuplé par Twitter

C'est du décuplé en effet !Les twictées, dictées en 140 caractères...

Vivement qu'on en observe les effets !...permettent à l'élève de s'améliorer en orthographe à travers des processus complexes...
C'est vrai que Twitter, c'est tout à fait sécurisant....mais dans un cadre sécurisant et ludique.

Mais ça n'a rien à voir...Pour les professeurs, c'est aussi un "réseau collaboratif d'apprentissage".
Une "réflexion" ou un effet de mode ?Les “twictées”, ces dictées collaboratives, interactives et en 140 caractères, sont nées en 2013, suite à la réflexion de deux enseignants, Régis Forgione, professeur des écoles à Freyming-Merlebach (Moselle), et Fabien Hobart, accompagnant pédagogique et chargé de mission pour la délégation académique au numérique (DAN) de Créteil.
La paradoxe, c'est que, selon les "Cahiers pédagogiques" commentant cet ouvrage : "Rien ne sert cependant de pleurer un prétendu âge d’or ni de demander un retour aux méthodes d’autrefois. La durée que l’on peut consacrer aujourd’hui à l’enseignement de l’orthographe n’est plus la même et il s’agit avant tout de rationaliser cet enseignement." Or les twictées sont chronophages...Les créateurs des twictées gèrent ensemble le compte “Twictée Officiel”, le compte Twitter référent, au centre du dispositif. Ils structurent les groupes, organisent les séances. L’idée de ce dispositif est née après la lecture, par Fabien Hobart, d’un ouvrage baptisé “Comment enseigner l’orthographe aujourd’hui”. Les auteurs, deux chercheuses en sciences du langage, y édictent 5 grands principes pédagogiques.
www.cahiers-pedagogiques.com/Comment-ens...hographe-aujourd-hui
Il ne s'agit pas de "différencier" mais au contraire de relier...La simplexité : rendre simples des processus complexes
“Premier principe : il faut différencier la connaissance d’une règle orthographique de sa mise en oeuvre. Typiquement, les élèves connaissent les règles, mais quand ils passent en production d’écrits ou en dictée, ils ne les opérationnalisent pas”, explique Fabien Hobart.
Effectivement, il fallait y songer !

Des principes décidément révolutionnaires !Le deuxième principe consiste à “distinguer les savoirs reposant sur la mémorisation (l’orthographe lexicale) et les savoirs reposant sur l’analyse (l’orthographe grammaticale). Le troisième principe est la mise en place d’une “progression véritable”. Ainsi, “il faut penser une progression, et être soucieux de l’évolution de la complexité des événements que l’on apporte, pour ne pas faire paniquer les élèves”, indique Fabien Hobart.
Le rapport avec un média supplémentaire (ordinateur, Internet, réseau social) n'est pour l'instant pas évident.“On essaie de rassurer les élèves, de les sécuriser, dans un apprentissage qu’ils savent complexe. L’orthographe, c’est compliqué, mais on y va doucement. On travaille sur leur sentiment d’efficacité personnelle”, remarque le conseiller pédagogique.
Les deux derniers principes sont “la pratique d’une évaluation positive” et l’emploi d’activités qui “engagent intellectuellement” les élèves. C’est, note Fabien Hobart, “ce que les sociologues appellent la ‘simplexité‘ : rendre simples, compréhensibles les choses complexes.”
Ah oui, effectivement, c'est de la "simplexité"... Mais il n'y avait pas besoin de Twitter pour inventer la dictée en une phrase courte.Utilisant à l’époque Twitter avec sa classe, au sein d’une “Twittclasse”, l’enseignant imagine alors des dictées en 140 caractères. “Ce format, rassurant pour l’élève...
Et comment les élèves consultent-ils ces "twoutils" ?...permet de lui faire produire de petites leçons d’orthographe (les “twoutils”), qui lui permettent de structurer sa pensée”, remarque-t-il.
Mais pas les leçons d'orthographe traditionnelles.Les twoutils « développent la vigilance orthographique »

Réduire une dictée à 140 caractères et, dans une logique constructiviste, "produire" de règles n'exige absolument pas d'utiliser un écran.Fin 2013, Régis Forgione rejoint Fabien Hobart. “Ce qui se passe sur Twitter est totalement en adéquation avec ces 5 grands principes : le côté rassurant de la dictée en 140 caractères, mais aussi le côté contraignant de la production de twoutils, qui favorise le focus cognitif des élèves sur une erreur d’orthographe !”, lâche le professeur mosellan.
Affirmation non étayée.A long terme, la création de twoutils “est un dispositif ritualisé, qui permet de développer la vigilance orthographique, et d’accélérer l’apprentissage de l’orthographe”, affirme Régis Forgione.
Rien, d'un point de vue pratique, sur le temps consacré en classe àr des dictées aussi courtes.
En 50 caractères ce serait encore moins "dramatique".Le format en 140 caractères “permet en outre de dédramatiser.
Donc pour réussir à écrire, il faut renoncer à écrire un textePour l’élève, travailler sur une phrase, ou deux, est plus rassurant que de se retrouver face à un texte d’une quinzaine de lignes.
Le lien logique avec la distance n'apparaît absolument pas.Le fait de corriger les erreurs, identiques aux siennes, d’élèves se trouvant ailleurs en France ou dans le monde lui permet aussi de gagner en confiance en lui”, ajoute-t-il.

Il est effectivement plus rassurant de corriger les fautes d'autrui (ou de penser le pouvoir) que de s'exposer à écrire soi-même.
A ce sujet, les écrits proposés pour correction sont-ils personnels ? Si c'est le cas, la confiance peut difficilement être gagnée à s'exposer ainsi sur un réseau. Et si ce n'est pas le cas, la confiance n'est pas celle d'un travail personnel...
On a effectivement moins peur de l'erreur quand on corrige que quand on est corrigé...En plus de “motiver les élèves”, la correction des twictées d’autres classes “créent chez eux un fort sentiment de compétences. Ils ont ensuite moins peur de l’orthographe et de l’erreur”, indique Régis Forgione.
Comme d'habitude, nouvelles technologies, nouvelles pédagogies (pédagogies actives, coopération, socio-constructivisme, évaluation bienveillante etc.).Dans sa classe, l’enseignant “évalue les twictées de façon positive” : il a troqué les notes contre des pourcentages de réussite.
A quoi correspond 0% de réussite ? Ce pourcentage est-il "bienveillant" ?
A noter que, si l'échelle d'évaluation est étendue, ce qui est évalué est réduit. Un pourcent correspond presque à un caractère...

Cette création est-elle personnelle ou collective ?“Je ne note pas que les erreurs, mais aussi le fait d’avoir créé un bon twoutil.
On voit que créer un bon outil compense le fait de ne pas savoir l'utiliser : c'est à peu près l'inverse du premier principe énoncé plus haut.
La note en pourcentage de réussite permet de créer une courbe, qui montre à l’élève sa progression, entre le début et la fin de la twictée”, ajoute-t-il.

J'aimerais bien savoir en quoi une dictée sur un réseau social est plus "ludique".Pour Fabien Hobart, “la twictée va dans le sens de la simplexité : ce que nous demandons aux élèves est au fond très complexe – chercher l’information, identifier une erreur, la catégoriser, la restituer -, tout en étant simple d’apparence, ludique, convivial”.

Quelle ambition !Travail d’équipe et réseau de “twictonautes”
Mais les twictées ne sont pas bénéfiques que pour les élèves : pour les enseignants eux-mêmes, c’est l’occasion d’échanger des idées. Plus de 70 twittclasses francophones, pour 80 enseignants, participent actuellement aux twictées, et l’idée de Régis Forgione et Fabien Hobart est d’étendre le dispositif au monde anglo-saxon – sous le terme “twictation”.
Un travail de fond, effectivement.Les twictées sont aussi un réseau, une communauté de 80 “twictonautes”, qui préparent ensemble chaque session sur leur temps libre, en ligne, “dans le moindre détail – jusqu’à obtenir la bonne phrase, les bons 140 caractères”, indique Fabien Hobart.
On voit ici que l'apprentissage (moderne) des enseignants est mis sur le même plan que l'apprentissage des élèves.Selon l’accompagnant pédagogique, le dispositif des twictées a permis de bâtir un “réseau d’apprentissage collaboratif”, où “la connaissance se construit entre pairs”, de façon “décomplexée”.
Oh pas si loin...Chacun participe, apporte ses idées. “Nous nous donnons des coups de main entre professionnels, et nous sommes très loin des formations traditionnelles et des circuits institutionnels !”, lance Fabien Hobart.
cardie.ac-creteil.fr/spip.php?article9
www.cndp.fr/crdp-nancy-metz/fileadmin/St...3-11-CP_ForumNum.pdf
eduscol.education.fr/experitheque/fiches/fiche11228.pdf
Etc.
A écouter également : www.laviemoderne.net/forum/ecrans/851-br...-byod?start=20#12241
La pédagogie ne sort pas forcément grandie de son entrée sur un écran.L’enseignant remarque : “la twictée devient à force la forme de twittclasse la plus aboutie, et les idées pédagogiques autour continuent de fleurir”.
On cherche toujours la preuve d'un enseignement "décuplé" (sic)...
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Il est facile de décupler l'effet d'un zéro, non ?
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player.vimeo.com/video/125994772
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*FIP = Formateur en informatique pédagogiqueStéphanie de Vanssay dit: Bien sûr que non, ce n'est pas interdit c'est même valorisé sur Eduscol. Le souci c'est que par peur certains disent NON. Il faut donc rédiger un projet et ruser en le soumettant à quelqu'un qui le soutiendra : CARDIE, conseiller pédagogique, bref à quelqu'un d'ouvert qui t'aidera à le finaliser et à l'imposer aux réticents.
www.ac-paris.fr/portail/jcms/p1_319162/v...rs-pour-le-1er-degre
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[Nouveau billet #TwittMOOC] "10 raisons d’utiliser Twitter en classe" par @TrousseauParis 2vanssay.fr/twittmooc/?p=3…
![]()
Article non daté (2015 ?)
ce1cadm.blogspot.fr/2015/08/10-raisons-d...tter-dans-notre.html
www.2vanssay.fr/twittmooc/?p=3336
La lecture de l'argumentaire laisse perplexe : aucun de ses intérêts supposés n'est en effet spécifique à Twitter. Les inconvénients de Twitter ne sont présentés nulle part.
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Une utilisation de Twitter encore plus factice puisqu'il s'agit d'un échange avec un compte classe... en MP.

Et la conversation en anglais avec une personne non anglaise (mais qui parle anglais) vivant en Roumanie : vive la non-artificialité d'une part, la diversité des langues européennes d'autre part !
“Is dracula does really exist ?”
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Article sur la Twictée avec @lesCM2c dans La République 77. Merci à @choisnet_pierre @TwicteeOfficiel
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Michel Guillou sur "EducaVox" du 02/11/15 : "Apprendre à publier à 10 ans, n’est-ce pas trop tôt ?"
A noter la contradiction dans le discours même de M. Guillou...
N’en déplaise aux réactionnaires frileux de tous âges et de toutes engeances, voir ci-dessus, l’école n’a pas le choix.
Elle ne pourra plus longtemps faire comme si elle ne savait pas que, déjà, des jeunes publient des centaines de textos et de messages chaque jour, mettent en ligne et partagent des photos, des images, des vidéos, des sons et de la musique, des textes plus ou moins élaborés, dans des espaces plus ou moins publics. Et qu’il s’agit très souvent de productions originales, personnelles ou collectives, de grande qualité.
Bien sûr qu’on peut ! On doit essayer. Si un enfant en a envie, ouvrir un blogue, écrire ses premiers articles, publier ses premières photos, prendre un compte sur Twitter ou un autre réseau social, observer longuement ce qui s’y passe, nouer des premiers contacts et s’essayer à commenter l’actualité ou donner son avis sous le regard d’abord complice puis bienveillant de ses parents, sont toutes des activités hautement enrichissantes et éducatives. Confronter ses créations, ses productions, ses écrits, si pauvres ou hésitants encore soient-ils, au regard des autres, où qu’ils soient, n’expose qu’au seul risque de la critique, du grand luxe en quelque sorte, que cette critique soit négative ou qu’elle soit positive.
Apprendre à publier, c’est apprendre à écrire, à rédiger, à argumenter, à composer, à débattre. C’est aussi apprendre à choisir ses angles et ses gammes, à construire, à se construire, à exercer son libre arbitre, à penser par soi-même… à se nourrir de la lecture de l’autre.
Et l’âge n’a que peu d’importance si la publication, où et quelle qu’elle soit, est faite sous l’œil bienveillant, je le répète, des parents et sous leur responsabilité. Il va de soi, par exemple, je le sais bien, que la plupart des réseaux sociaux exigent bien souvent de ceux qui s’en servent un âge minimum et que, dans ces cas-là, la connivence et l’accord des parents doivent être complets.
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Je ne vois pas du tout ce que tu trouves de chronophage dans cette activité !Mais qu’est-ce qu’une Twictée, au juste ? “Pendant une quinzaine de jours, une classe réalise une dictée en ligne, et corrige celle d’une autre classe, sur Twitter, en 140 caractères, le format du réseau social”
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Derrière les nouvelles technologies, les bonnes vieilles nouvelles pédagogies.Loys dit:
Constructivisme : cela suppose que les élèves connaissent le niveau de chacun d'entre eux.Les élèves se répartissent en 8 groupes hétérogènes
Constructivisme : la dictée "négociée" puisque les élèves cherchent entre eux, sans l'intervention du professeur, les erreurs.
Bizarrement on utilise GoogleDocs pour envoyer les "twictées" : Twitter serait un "outil" insuffisant ?
Constructivisme : les élèves corrigent eux-mêmes les fautes des autres élèves en "élaborant" eux-mêmes les outils de correction : les "twoutils".
Pas étonnant que l'activité soit dans l'ensemble chronophage, avec par exemple nombre de redondances inutiles puisque chaque groupe élabore ses "twoutils".
Bizarrement ces professeurs utilisateurs de Twitter ne connaissent pas le verbe "tweeter" ("Twitter" renvoie au réseau et... n'est pas un verbe). Curieux aussi d'utiliser des noms impliquant une marque commerciale ("twictée", "twoutils") : imaginons que l'on fasse la même chose avec des marques de stylos ou de cahiers...
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Quand twitter permet d'échanger sur les valeurs de la république! @EMCpartageons @accreteil @najatvb
www.rslnmag.fr/post/2016/04/11/numerique...dtech-minecraft.aspxFacebook et Twitter : des réseaux sociaux d’inclusion et de débats pédagogiques
Les débats thématiques, par exemple autour des stéréotypes racistes, se font d’abord au sein de chaque classe avant que certaines idées soient publiées sur Twitter ou Facebook. La philosophie du dispositif : favoriser l'inclusion par le dialogue en ligne et hors ligne entre les classes participantes. En se servant de hashtags sur Twitter, le dispositif articule réflexion individuelles et échanges collectifs pour nourrir le débat autour des valeurs de la République.
Le dispositif « EMC, partageons » se propose quant à lui de miser sur les réseaux sociaux pour répondre aux objectifs fixés par le Ministère, notamment en matière d'éducation civique et de transmission des valeurs républicaines. Utilisé avec des classes de collège, de lycée et de l’Adaptation Scolaire et Scolarisation des élèves Handicapés (ASH), il leur permet d’échanger des idées en dehors des seuls murs de l'école.
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