@JDestenave L'iFRAP comme document dans des examens nationaux, ça fait réfléchir à la vanité de l'#EMI.
L'iFRAP a encore frappé
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Rappel salutaire : l'@iFRAP coûte jusqu'à 1M€ chaque année aux finances publiques. laviemoderne.net/grandes-autops… twitter.com/Figaro_Live/st…
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
"La force d'iFRAP du Figaro" (22/09/13).
Cinq ans après exactement, ce billet critiquant la légèreté du "Figaro" mais surtout démontrant la malhonnêteté de l'IFRAP (à propos des personnels de l’Éducation nationale accusés d'être bien trop nombreux en France) est cité dans un billet de "Valeurs actuelles" . Réaction de Laurent Fillion, qui ne donne pas le lien permettant de se faire une idée :

En pratiquant le même genre d'amalgame, faut-il en déduire que Laurent Fillion (Cahiers pédagogiques, UNSA) et ceux qui le retweetent, en plus de lire attentivement "Valeurs actuelles", prennent la défense d'un think-tank ultra-libéral et pensent, comme Agnès Verdier-Molinié, qu'il y a beaucoup trop d'enseignants en France ?

Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Quelques observations :
Pourtant Agnès Verdier-Molinié déclare le 28/10/21 (cf infra) : "On nous dit que la France décroche". L'IFRAP parlait même de "chute dramatique" et d'"écroulement" dans ses notes précédentes (voir notre débunkage en 2014 ).Qu'en conclure ? Que la France stagne au niveau scolaire...
Les compétences des élèves n'ont pas stagné mais se sont bien dégradées depuis deux décennies (trois en réalité) mais pour le savoir il faut consulter d'autres indicateurs que PISA, comme les études de la DEPP ou TIMSS.
Curieusement, cette conclusion n'est tirée d'aucun exemple donné dans la note et oublie les pays donnés en modèles éducatifs par l'iFRAP (la Suède, la Grande-Bretagne) qui ont vu leurs résultats baisser significativement dans PISA....et n’a pas eu de « choc PISA » comme certains pays qui se sont relevés.
Catastrophisme assez relatif ("très fortement baissé" = -3%) surtout assez absurde dans sa projection linéaire... quand on observe que 496 a été atteint dès 2012, et même 493 en 2015 pour une remontée à 495 en 2018 !En se plaçant par rapport aux statistiques, entre 2000 et 2018, le niveau scolaire des élèves français de 15 ans à très fortement baissé en mathématiques, la France passant d’un score de 517 à 495 [...] Le niveau de notre pays baisse considérablement sur le long terme dans cette matière importante. Si on ne le relève pas, il aura diminué de 40% d’ici 2050 par rapport à celui de 2000.
Ces statistiques montrent surtout à quel point les faibles variations de performance dans PISA sont peu significatives, ce que nous avons montré depuis des années.
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.
- Loys
-
Auteur du sujet
- Hors Ligne
- Administrateur
-
- Messages : 17085
Où l'on découvre que 24/82, c'est "en bas du classement Pisa". Rappelons que les États-Unis ont le même classement...
Pour la dernière phrase ("ce n'est pas une question de moyens") : en part du PIB, les dépenses de la France sont certes supérieures (3,7% contre 3,2% en Europe et 3% en Allemagne ( RSE 2021 C2.1 p. 255 ) mais ces dépenses brutes ne tiennent pas compte de la démographie (et des différences de PIB bien sûr !). En part des dépenses publiques, les dépenses d'éducation en France sont inférieures de 10% à la moyenne européenne et de 20% à la moyenne de l'OCDE en 2018 ( RSE 2021 C4.1 ). La France est - après l'Irlande - le pays de l'UE28 qui compte la plus importante part de 0-17 ans dans sa population : 22% contre 18% dans l'UE28 et de 16% en Allemagne) ; c'est également le pays qui scolarise le plus les élèves de pré-primaire (100% contre 93% dans l'UE28 en 2017, DEPP "L'Europe et l'éducation en chiffres 2020" 2.1.1 p. 23 & 2.4.3 p. 29)...
Connexion ou Créer un compte pour participer à la conversation.