François Taddei, le CRI et les "enfants chercheurs"

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24 Jui 2014 22:18 - 24 Jui 2014 22:21 #11062 par Loys
Dans les "Cahiers pédagogiques" du 24/06/14 : "Les Savanturiers s’engagent !"

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29 Aoû 2014 23:38 #11510 par Loys
A ne pas manquer, cette conférence TedX Paris : "La maîtresse et la fourmi, une nouvelle fable à l'école"

Traductrice de formation et de métier, Ange Ansour est devenue Professeur des écoles en 2006. Elle travaille dans une école « ZEP-ECLAIR » de la banlieue parisienne. Elle a expérimenté dans sa classe de CM1-CM2, un projet qui invite les jeunes élèves à explorer et pratiquer la recherche scientifique avec rigueur. Ce projet, encadré par des chercheurs qui interviennent directement en classe, permet aux plus jeunes de s'inspirer des méthodes et de l'éthique de la recherche pour construire leurs apprentissages.

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06 Déc 2014 11:17 - 06 Déc 2014 11:24 #12635 par Loys
Sur le site de la DANE de Créteil du 5/12/14 : "Ange Ansour et les savanturiers"

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18 Mar 2015 23:28 - 18 Mar 2015 23:28 #13631 par Loys
Dans "ParisTech Review" du 12/03/15 : "Les pratiques collaboratives dans l’éducation" avec François Taddei.

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18 Mar 2015 23:28 #13632 par Loys
Commentaires à venir.

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23 Jui 2015 11:19 #14159 par Loys
Réponse de Loys sur le sujet "Les savanturiers"

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20 Aoû 2015 00:21 - 20 Aoû 2015 02:28 #14443 par Loys
Et maintenant au service de la réforme du collège : "Réforme du collège : l'interdisciplinarité est une bonne chose" dans "Pour la science" (septembre 2015). Il s'agit d'une tribune, pas d'un article scientifique.

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20 Aoû 2015 00:59 - 25 Mai 2018 19:05 #14444 par Loys
Ce fil sur les "enfants chercheurs", ouvert en 2013, trouve aujourd'hui sa raison d'être. :(
Rappelons qu'Ange Assour collabore aux "Cahiers pédagogiques", promoteurs et même initiateurs de cette réforme. Il ne s'agit donc pas d'un point de vue scientifique neutre, ce que "Pour la science" aurait dû rappeler.

Réforme du collège : l'interdisciplinarité est une bonne chose

Si tel est le cas, pourquoi les nouveaux programmes ne sont-ils pas conçus de manière interdisciplinaire, par exemple entre la physique et les mathématiques ? :devil:

Plusieurs expériences de projets transversaux menés en classe avec l'aide de chercheurs suggèrent que cette démarche favorise l'apprentissage.

Dont les "expériences" très scientifiques... des deux auteurs de la tribune ! Il est vrai que sans l’interdisciplinarité, le Centre de recherche interdisciplinaire (CRI) de François Taddei n'aurait pas de raison d'être (relire plus haut dans ce fil).
Bon, d'emblée dans la tribune, plusieurs problèmes se posent, en dehors de cette curieuse autopromotion, rendant l'argumentation très confuse :
- La tribune confond interdisciplinarité et transversalité, notions pourtant très différentes.
- La tribune associe pédagogie de projet et interdisciplinarité : or rien dans la mise en œuvre de l'interdisciplinarité ne suppose qu'elle soit inhérente d'une telle pratique.
- "menés en classe avec l'aide de chercheurs" : nouvel ajout sans rapport avec l'interdisciplinarité proprement dite. Voilà typiquement le genre de mise en œuvre qui rend la généralisation impossible dans 100.000 classes de cycle 4.
A noter la précaution oratoire : "suggèrent que cette démarche favorise l'apprentissage". C'est donc sur la foi de cette "suggestion" qu'il s'agit de généraliser un dispositif à des millions d'élèves.

Le 10 avril dernier, le Conseil supérieur de l'éducation a adopté le décret et l'arrêté qui définissent les principes de la réforme du collège en France prévue pour la rentrée 2016.

En rappelant que les syndicats représentant 80% des enseignants s'y sont opposés...

Parmi les réactions que suscite cette réforme, plusieurs critiques portent sur les EPI – les enseignements pratiques interdisciplinaires que suivront les élèves de la 5e à la 3e, à raison de trois heures hebdomadaires maximum.

Opportunément la tribune ne précise pas le point le plus contestable de la réforme : ces trois heures sont retirées aux enseignements disciplinaires.

Ces nouveaux modules ont pour vocation de « construire et d'approfondir des connaissances et des compétences par une démarche de projet conduisant à une réalisation concrète, individuelle ou collective ».

Même confusion : la pédagogie de projet est à distinguer de l'interdisciplinarité.

En d'autres termes, il s'agit de mener à bien des projets croisant plusieurs disciplines. Huit thématiques ont été définies, telles que « corps, santé, bien-être et sécurité » ou « sciences, technologie et société ». À l'issue du cycle, chaque élève doit avoir abordé six des huit thématiques.

Comme on le verra, ces deux thèmes ne sont pas retenus par hasard.

Les critiques de ces EPI sont variées : « Au collège, c'est trop tôt pour ce genre d'enseignement, il faut rester sur les fondamentaux pour qu'ils soient bien acquis ; seuls les meilleurs élèves s'en sortiront ; les disciplines mères seront fragilisées par le temps qu'on leur prend ; les enseignants ne sont pas formés à une telle approche ; les infrastructures sont insuffisantes et les élèves trop nombreux... » Pourtant, divers indices en France et ailleurs suggèrent que, bien mise en œuvre, cette approche est très prometteuse, tant pour favoriser l'apprentissage que pour aider les enfants à devenir des citoyens éclairés.

On notera qu'aucune réfutation n'est apportée à la plupart des critiques rapportées : François Taddei et Ange Ansour oublient évidemment de rapporter la principale critique que nous avons déjà évoquée.

Une discipline est un corpus de concepts, un champ d'investigation ou un ensemble de méthodes propres ; mais c'est aussi une construction sociale – institutionnelle et universitaire –, prise dans des enjeux et luttes de pouvoir.

On voit mal en quoi ces luttes de pouvoir concernent des collégiens : François Taddei, par un biais bien peu scientifique, expose ici ses propres problématiques universitaires.

Les disciplines scolaires sont issues des disciplines traditionnelles de l'université. Mais alors que les savoirs de la recherche sont en mutation permanente...

Nouveau biais de notre chercheur : les disciplines seraient toutes en rapport avec la recherche. A vrai dire surtout dans quelques disciplines... scientifiques. Quant au rapport entre ces mutations permanentes et le niveau d'enseignement attendu au collège... Par exemple, l'enseignement des mathématiques en 4e doit-il être actualisé par l'état de la recherche mathématique en 2015 ?

...faits d'emprunts à d'autres domaines...

Cette conception de la recherche relève de l'opinion personnelle de François Taddei. :scratch:

...ils ont été, à l'école, fractionnés et inscrits dans des pratiques très éloignées des disciplines génitrices.

:shock:
Les disciplines, comme leur nom l'indique, sont des champs d'apprentissage autour d'un objet propre. L'organisation du savoir en disciplines n'est pas une invention de l'école... mais elle est utile pour présenter un savoir structuré et adapté aux élèves.

Toutefois, la raison d'être originelle des disciplines est leur valeur d'usage, c'est-à-dire leur pertinence pour faciliter la compréhension d'un monde en mutation, où ce qui compte est la capacité explicative des modèles mis en œuvre.

Toujours le même biais d'une approche scientifique expérimentale. Vision par conséquent réductrice des disciplines : comprendre (et pas nécessairement "le monde en mutation" mais par exemple le passé ou les structures permanentes de la langue) n'est qu'un aspect de l'enseignement. Il s'agit aussi de mémoriser, de pratiquer, de s'exprimer.
A noter que la plupart des aspects du monde que les élèves doivent comprendre ne sont pas du tout "en mutation" : cette notion d'évolution, de mutation est omniprésente pour justifier une démarche de recherche expérimentale.

Partant de ce constat, partout dans le monde, divers programmes pédagogiques se sont montés ces dernières années, visant à renouer avec l'héritage de la recherche scientifique et son approche interdisciplinaire.

Nouvel ajout : l'interdisciplinarité est ici mise en relation avec la recherche scientifique, conçue de manière très subjective.

Un article paru dans Nature le 16 juillet dernier recense plusieurs initiatives dans ce sens.
Lancé en 2006 en Allemagne, le programme Haus der kleinen Forscher (la maison des petits scientifiques) est installé dans plus de 24 000 structures (crèches, garderies, écoles élémentaires) accueillant les enfants de trois à dix ans. Des enseignants formés à cette approche amènent les enfants à poser des questions sur les phénomènes naturels ou les objets du quotidien et à concevoir des activités pour tester leurs hypothèses.

Très bien mais quel rapport avec l'interdisciplinarité ?

Le programme a fait des émules jusqu'en Australie, en Thaïlande et au Mexique. D'autres initiatives, telles que l'institut Hwa Chong à Singapour ou l'école Simon-Langton en Grande-Bretagne, visent à donner une chance à des jeunes de faire de la vraie recherche avec des équipements professionnels, dès l'adolescence.

Même question. Le sujet de la tribune n'est donc pas traité...
Par ailleurs, où est présenté le bilan de ces programmes ?

En France, l'approche se répand aussi, notamment grâce à des organisations telles que la fondation La main à la pâte qui, depuis 1996, vise à développer à l'école primaire et au collège un enseignement des sciences fondé sur l'investigation...

Une pédagogie constructiviste donc.
L'action de la Main à la pâte a débouché sur l'EIST : "L'enseignement intégré de science et technologie (EIST) en sixième et cinquième permet de mettre en œuvre la démarche d'investigation caractéristique des pratiques scientifiques et technologiques". La technologie est par définition en lien avec la science, dont elle est le produit et l'instrument. Bref, une interdisciplinarité à la fois évidente et en définitive très limitée. Et rappelons que l'EIST est le fait d'équipes volontaires et motivées. Ou que les interventions de la Main à la pâte sont très ponctuelles : rien à voir avec l'institutionnalisation horaire prévue.
Et l'EIST préfigure la globalisation des disciplines scientifiques en 6e dans la réforme du collège, une mesure non pas pédagogique mais économique.
Évidemment Pierre Léna de la Main à la pâte défend également la réforme du collège dans les "Cahiers pédagogiques" : www.cahiers-pedagogiques.com/Une-reforme-revolutionnaire
Quel bilan de la Main à la pâte ou de l'EIST, encore une fois ? :fur

...et le Centre de recherches interdisciplinaires (CRI), à Paris, né en 2005 de la volonté de chercheurs de former les jeunes à la démarche de projet et de promouvoir l'interdisciplinarité.

Curieux : cet aspect ("former les jeunes") n'est pas inscrit dans la présentation du CRI.
Attention : Spoiler !

Avec le programme les Savanturiers, lancé en 2012, le CRI forme de jeunes élèves à cette démarche en prenant modèle sur la recherche.

Pour quel bilan ?
A noter que, dans l'esprit de ce projet des "Savanturiers", l'enseignement devient une "aventure" et les enfants des "savants", rien moins. On peut aussi militer pour plus d'humilité et moins d'aventurisme dans l'école.

Élèves et enseignants sont engagés dans des projets coopératifs où ils observent, questionnent, décrivent, formulent des hypothèses, capitalisent des savoirs, expérimentent, modélisent, échangent des informations, argumentent et valident des résultats.

Sur des sujets essentiels et qui permettent la "compréhension du monde" comme... un comportement très spécifique de fourmi. :doc:
A noter ce nouvel ajout : non seulement projet, mais projet coopératif. :doc:
A noter encore que la démarche "scientifique" des enfants (point intéressant), telle que nous avons pu l'observer (cf supra), est en réalité très discutable...

Ces activités aident l'apprentissage et dotent les élèves de bases solides pour aborder avec discernement les enjeux sociétaux de leur temps.

"Ces activités aident l'apprentissage et dotent les élèves de bases solides" : et là il il faut faire preuve... de croyance. :P
Bon, c'est vrai qu'en étudiant le comportement de certaines fourmis, on comprend mieux les enjeux sociétaux de notre temps. :roll:

C'est un retour aux sources, corroboré par les recherches en sciences cognitives qui établissent que les processus intellectuels à l'œuvre chez l'enfant sont apparentés à ceux mobilisés par les chercheurs.

Encore une fois il faut faire preuve de croyance.

En témoignent de nombreuses réalisations sporadiques d'enfants chercheurs, tel cet article de recherche sur le comportement des bourdons publié par une classe d'enfants anglais de 8 ans à l'instigation d'un parent chercheur.

Tout est dans "l'instigation" du "parent chercheur".

Notre ambition est de rendre accessible au plus grand nombre l'essence même de ces tentatives.
Le projet Savanturiers met en relation des chercheurs et des classes. Il permet aux élèves d'explorer un phénomène naturel ou culturel (la vie des fourmis, le changement climatique, l'action du sucre sur l'organisme, la construction d'une fusée...) en mettant à leur portée les outils et concepts des différents champs d'investigation scientifique.

En fait c'est simple : il suffit de mettre à la portée des élèves les "outils et concepts" ! Pourquoi donc l'école n'y a-t-elle jamais pensé ?

Les élèves écrivent, publient et partagent lors de congrès les résultats de leurs recherches.

:roll:

Cette approche pédagogique a donné corps, au collège Beaumarchais à Paris, à un projet exemplaire, voire préfigurateur de ce que pourraient être les EPI voulus par la réforme.

Quels pionniers !

À partir de vers de compost, les élèves de 6e d'une professeure de SVT ont défini diverses problématiques aux frontières entre sciences de la vie, français et technologies de l'information.

Difficile de faire plus nébuleux...

Partant de leurs questions, ils ont défini des protocoles de recherche rigoureux et mené un travail documentaire exhaustif, guidés par un biologiste de l'université Paris-Descartes.

Les biologistes de toutes les universités vont bientôt avoir beaucoup de travail ! :santa:

Des questions naïves telles que « Est-ce que le ver de compost entend et danse en musique ? » sont devenues une série d'expérimentations et de recherches sur la sensibilité du ver aux vibrations.

C'est vrai que la compréhension du monde en est changée...

En parallèle, avec leur professeure de français, les élèves se sont initiés à l'écrit scientifique et se sont engagés dans des productions littéraires et chorégraphiques sur la perception du mouvement.

Le lien est en effet très évident. :santa:
Un bel exemple d'interdisciplinarité factice.

Tout au long de l'année, ils ont alimenté un blog sur leurs explorations, à partir duquel ils ont fait une communication en congrès.

Temps consacré à ce travail ?

Les Savanturiers ont déjà accompagné 4 500 élèves, du CM1 à la terminale, et leurs enseignants. Une étude précise de l'impact de cette approche sur la réussite des élèves, en cours sur trois ans, livrera ses résultats en 2018.

Mais autant présumer des résultats pour généraliser à toute la France dès 2016 !
Par ailleurs cette étude concernera-t-elle la diminution du temps d'enseignement disciplinaire ?

Des entretiens menés auprès des enseignants impliqués révèlent déjà que l'approche favorise l'engagement des élèves dans les apprentissages – même de certains qui, jusqu'alors, avaient des difficultés. En Allemagne, une enquête menée auprès de 3 000 enseignants engagés dans le programme Haus der kleinen Forscher a montré que ces derniers ont gagné en confiance et s'intéressent plus à l'enseignement des sciences. Là aussi, une évaluation de l'impact sur l'apprentissage des enfants est en cours sur trois ans.

"L'engagement" est mesuré très scientifiquement, comme on peut le voir. Et il devient la nouvelle mission de l'école : non plus instruire, mais engager les élèves.

Certes, pour que cela fonctionne, plusieurs conditions doivent être réunies. Un enseignant isolé ne peut relever un tel défi.

C'est vrai : comment un professeur pourrait-il pratiquer l'interdisciplinarité dans sa classe, en faisant le lien avec les autres disciplines ? Mais comment donc font les professeurs de primaire, évoqués plus haut ?
Nouvel ajout, donc : le travail en équipe. Tout cet argumentaire pour l'interdisciplinarité est bien peu rigoureux d'un point de vue scientifique.

Seules des équipes engagées collectivement dans la recherche de solutions pédagogiques et didactiques sont à même de porter ce point de la réforme.

Des équipes désignées sur des thèmes désignés avec un horaire assigné, le tout répondant à des objectifs de gestion des ressources humaines.

Il est donc primordial que l'administration favorise la coopération des enseignants entre eux et avec le monde de la recherche, notamment en facilitant sa mise en place : plages communes de temps libre, horaires de cours compatibles, salles de cours contiguës... Nous faisons confiance aux acteurs de la réforme pour tenir compte des expériences en cours et de leurs enseignements.

:santa:
Évidemment cette tribune fait totalement abstraction des conditions concrètes de mise en œuvre de l'interdisciplinarité dans la réforme du collège 2016. A relire à ce sujet : "Une réforme qui se moque de l'interdisciplinarité" . La tribune n'évoque pas non plus les précédents interdisciplinaires à l'école (TPE, IDD, PPCP), ce qui est très regrettable...
Quand on veut instrumentaliser la science, il faut le faire plus rigoureusement.
Résumons : l'interdisciplinarité est ici conçue de manière extrêmement confuse (pédagogie de projet, travail collaboratif des élèves, travail en équipe des enseignants, démarche expérimentale, constructivisme, association avec des chercheurs...), sans aucun bilan concret et détaillé et impossible à généraliser sous la forme présentée. Mais n'en doutons pas : "l'interdisciplinarité est une bonne chose".
Dernière édition: 25 Mai 2018 19:05 par Loys.

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30 Aoû 2015 17:32 - 30 Aoû 2015 17:45 #14525 par Loys
Réponse de Loys sur le sujet "Contre le savanturisme pédagogique"
La réaction de N°6, membre de ce forum, à cette tribune : "Contre le savanturisme pédagogique" (30/08/15)
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A noter que le commentaire posté par Roger Raynal à la suite de la tribune sur "Pour la science" a tout simplement disparu.
Dernière édition: 30 Aoû 2015 17:45 par Loys.

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06 Sep 2015 10:51 - 09 Sep 2015 07:34 #14564 par Loys
Réponse de Loys sur le sujet "Contre le savanturisme pédagogique"
Quand on parle de "La Main à la pâte" :
Clé utilisateur/ secrète de la configuration non valide
A noter que , si Pierre Léna vante l’interdisciplinarité dans la réforme ou les programmes, l'Académie des sciences avait précisément fustigé... l'absence interdisciplinarité dans les nouveaux programmes !
Dernière édition: 09 Sep 2015 07:34 par Loys.

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