Enseigner l'informatique à l'école

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08 Déc 2014 18:51 - 08 Déc 2014 22:50 #12666 par Loys

Peut-être un tel enseignement n'est-il pas prioritaire, au moment où, selon certains, les jeunes générations ne savent ni lire, ni écrire, ni compter?

"Selon certains" ? :scratch:
Et qu'en pensent nos deux auteurs, obnubilés par la promotion de leur propre discipline ? Serait-ce un produit de l'imagination ?

Ces personnes proposent-elles également que l’histoire, la géographie, les langues étrangères, l’éducation physique, la biologie, la physique et tant d’autre matières soient sacrifiées sur l’autel de ces savoirs jugés fondamentaux?

La biologie et la physique ne sont pas enseignées en primaire. L'histoire-géographie n'est enseignée qu'à partir du CE2. Il n'est enseignée qu'une langue vivante. Bref les propos de nos deux auteurs sont hors de propos s'agissant du primaire ("lire, écrire, compter").
En revanche il serait bon de revenir, dans un contexte où l'horaire général a été diminué à 24h par semaine pour les élèves, sur l'enseignement d'une langue vivante ou de l'histoire des arts.
Au collège l'enseignement de la physique-chimie ne commence qu'en 5e. En revanche la technologie (dont le numérique et l'informatique sont des parties) est déjà incluse dans les programmes.

Et peut-on vraiment ignorer que la notion même de savoir fondamental n'a, au cours de l'histoire jamais cessé d'évoluer, et qu'elle évolue particulièrement rapidement en ce début de XXIe siècle?

Un savoir fondamental s'enseigne en primaire. Or rien ne cherche à nous convaincre que l'informatique est un "savoir fondamental", c'est-à-dire servant de fondement à d'autres savoirs. Il y a de plus une contradiction à proposer l'enseignement d'un savoir fondamental à partir du collège. :roll:

Pour faire avancer le débat, nous proposons de supprimer chaque mois
une heure de français,

La saignée continue : www.laviemoderne.net/grandes-autopsies/7...t-musee-des-horaires

Chaque discipline gagnera dans une telle réforme des temps scolaires: [...] les professeurs de français pourront motiver l'enseignement de la grammaire par les problèmes de traitement des langues naturelles que les élèves auront vus en informatique,

:shock:
Cette simple proposition montre le caractère surréaliste et déconnecté du réel de nos deux informaticiens.

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Dernière édition: 08 Déc 2014 22:50 par Loys.

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08 Déc 2014 22:47 - 08 Déc 2014 22:48 #12672 par archeboc

En réalité, nos deux auteurs, ignorants de l'état de l'école, cherchent ici à obtenir la reconnaissance de leur discipline par la consécration d'un concours de l'enseignement. Or de nombreuses disciplines n'ont pas besoin d'être enseignées à l'école pour être reconnues...

Si les sociologues ont attrapé la mauvaise habitude de caillasser l'école républicaine, c'est en grande partie parce que cette école n'offrait à leurs étudiants aucun débouché dans la sphère enseignante.
Dernière édition: 08 Déc 2014 22:48 par archeboc.

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17 Déc 2014 11:25 - 17 Déc 2014 11:59 #12731 par Loys
Dans "La Dépêche" du 17/12/14 : "Tout le monde sur la même ligne de départ"

Najat Vallaud-Belkacem écrit: écrit: Nous réformons aussi les programmes. Nous sommes en train de revoir le socle commun de connaissances, de compétences et de culture, c'est-à-dire ce que tout élève doit avoir acquis à la fin de sa scolarité obligatoire à 16 ans. De ce socle, découleront des programmes rénovés. Aujourd'hui, nous avons des programmes très lourds, parfois redondants d'une année sur l'autre. Si on travaille un peu plus sur la mise en cohérence de l'ensemble du parcours, on pourrait avoir des programmes mieux adaptés et plus progressifs. Rénover les programmes a aussi pour vertu de s'adapter aux nouveaux besoins des élèves. Par exemple, la programmation informatique n'apparaît pas actuellement. Or cette matière leur sera terriblement utile plus tard, dans le monde connecté dans lequel nous vivons.

Dernière édition: 17 Déc 2014 11:59 par Loys.

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17 Déc 2014 11:58 - 17 Déc 2014 11:59 #12732 par Loys
Réponse de Loys sur le sujet Enseigner l'informatique à l'école

Najat Vallaud-Belkacem écrit: Aujourd'hui, nous avons des programmes très lourds, parfois redondants d'une année sur l'autre. [...] Par exemple, la programmation informatique n'apparaît pas actuellement.

C'est très logique. :doc:

Rénover les programmes a aussi pour vertu de s'adapter aux nouveaux besoins des élèves.

Mais quels "besoins" ? :scratch:
Dernière édition: 17 Déc 2014 11:59 par Loys.

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17 Déc 2014 13:11 - 17 Déc 2014 13:31 #12735 par Loys
Dernière édition: 17 Déc 2014 13:31 par Loys.

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17 Déc 2014 13:30 - 17 Déc 2014 13:56 #12736 par Loys

Dans les débats sur la nécessité d’enseigner la programmation informatique est souvent avancée, en opposition à cette nécessité, l’idée qu’en maîtriser des éléments ne serait en rien utile dans la vie quotidienne de chacun (lire l’interview de Colin de La Higuera).
A voir. Pour André Leroi Gourhan, l’outil n’est rien sans le geste qui l’accompagne et l’idée que se fait l’utilisateur de l’outil de l’objet à façonner. Et d’ajouter : « Ce qui était vrai de nos lointains ancêtres du Néandertal, quand ils fabriquaient des lames de rasoir en taillant des silex, est toujours vrai : l’apprentissage de l’outil ne peut se faire sans apprentissage du geste qui va avec ni sans compréhension du mode de fonctionnement de l’outil, de son action sur la matière travaillée, ni sans formation d’une idée précise de la puissance de l’outil et de ses limites. » Cela vaut pour tous les outils, notamment les outils numériques omniprésents dans la vie d’aujourd’hui, et de demain.

Car un silex ou un système d'exploitation de dizaines de millions de lignes de code, c'est bien la même chose. :santa:

Nous pensons que, dans les débats sur la discipline informatique dans le système éducatif, il arrive que l’approche qui met en avant l’utilité et l’utilisation des outils, quand elle les envisage d’une façon réductrice, traduit aussi une forme d’incompréhension de ce qu’est la culture générale et de la façon dont l’Ecole la donne, dans le cadre de ce qui est la culture générale scolaire. Et les missions de l’Ecole sont plus larges, il s’agit de former l’homme, le travailleur et le citoyen, de lui donner la culture générale de son époque.

Comment réduire le grand écart avec la haute technicité d'un programme, quasi inaccessible au commun des mortels (et même des informaticiens) ? En renvoyant le code à une étrange culture générale, qui inclurait donc une compréhension superficielle des objets techniques que sont les programmes informatiques. A ce compte bien d'autres objets techniques (non numériques) mériteraient d'entrer dans une culture générale scolaire...

Le système éducatif, de l’école primaire au lycée en passant par le collège, relève essentiellement de la culture générale même s’il y a des dimensions professionnalisantes avec l’existence des séries d’enseignement général et les enseignements techniques et professionnels.

Précisément les matières de culture générale (mathématiques, français, histoire-géographie) ne sont pas professionnalisantes.

L’on sait le caractère incontournable d’une bonne formation initiale fondamentale qui conditionne les adaptations futures à une société qui bouge, notamment dans la vie quotidienne et ses outils nouveaux.

Et l'on sait les problèmes actuels de cette formation : alors ajouter un enseignement aussi dispensable... :fur

L’Ecole doit donner une culture générale
La formule est bien connue selon laquelle la culture est ce qui reste quand on a tout oublié. Effectivement, à l’Ecole, on apprend des choses dont, ultérieurement, on ne se servira pas tous les jours, loin de là, ou même dont on ne servira plus mais qui, dans des processus d’apprentissage, auront été nécessaires pour avoir une bonne culture générale.

Le souvenir du code appris à l'école risque malheureusement d'être totalement obsolète ne serait-ce qu'une décennie plus tard. Python, par exemple, n'était connu de personne il y a quinze ans...

A notre époque, par exemple, le citoyen doit savoir lire un graphique (ainsi celui de l’évolution du chômage, de la décélération de son accélération si c’est le cas) et pour cela savoir qu’une grandeur peut dépendre d’une autre grandeur. Il étudiera donc les fonctions en cours de mathématiques. Il apprendra des choses comme la continuité, la dérivation, la résolution d’équations, activité à laquelle, en général, il ne se livrera plus, sauf dans le cas où le métier l’exige. …

Toutes ces notions ne sont pas au programme de tous les élèves au lycée... Et ne parlons du collège ou du primaire.

Le citoyen pourra utilement s’appuyer, lors des débats sociétaux sur l’énergie, sur ce qu’il aura appris en sciences physiques ou, pour ceux à propos des OGM, sur ses connaissances en SVT. Ainsi saura-t-il de quoi il retourne.

Quelle candeur... :santa:

Pour autant, s’il n’est pas devenu ingénieur, chercheur ou…, il aura peut-être oublié certaines des formules d’électricité de sa scolarité ou des parties de ses cours de biologie. On dit que les sociétés sans histoire n’ont pas d’avenir et sont condamnées à revivre le passé. Pour éviter cela, il y a un cours d’histoire pour tous les élèves, même pour ceux qui ne deviendront pas historien.

:shock:

L’«honnête homme » n’est pas celui qui ne fait jamais de fautes d’orthographe ou de syntaxe mais celui qui s’exprime naturellement en n’en faisant pas, sans tournures erronées. C’est pour cette raison, entre autres, qu’il y a un cours de français, non réservé aux futurs écrivains.

Et appliqué au code informatique, qu'est-ce que ça donne ?

L’Ecole initie donc les élèves aux notions fondamentales de nombre et d’opération, de chronologie et d’événement, de vitesse et de force, de genre et de nombre, d’atome et de molécule, de bactérie et de virus, etc. Elle le fait dans le cadre institutionnel des disciplines scolaires. Elle donne ainsi la culture générale, les notions cachées que l’humanité a mis des siècles à découvrir et à élaborer, et qui permettent la compréhension, le recul, la créativité, les adaptations à venir…

L'informatique, de ce point de vue, entre parfaitement dans le champ mathématique...

L’apprentissage de l’écriture du code, enjeu crucial
Mais la société évolue et avec elle la culture générale scolaire. Les débats lors de la loi Hadopi, qui concerne tout le monde, ont montré que beaucoup de gens ne savaient pas de quoi il était question. On a parlé à cette occasion des licences de logiciels libres qui pouvaient servir de modèles et aider à la réflexion. C’est quoi un logiciel libre ? C’est un logiciel dont le code source est ouvert et… Mais, c’est quoi le code d’un logiciel ?

Un débat certes important mais "crucial" ?
On peut parfaitement comprendre le principe du logiciel libre ou du code source sans savoir coder... L'intéressant, c'est surtout que le code source n'est pas toujours ouvert, notamment dans la plupart des logiciels propriétaires que nous utilisons...

En particulier pour quelqu’un qui n’a jamais écrit une ligne de programme dans sa vie. L’apprentissage de l’écriture du code est ici une condition nécessaire de l’exercice de la citoyenneté.

Absolument pas. :roll:

Il contribue à donner les indispensables représentations mentales dont on a besoin dans la réalité de la vie.

La réalité de la vie se fait sans code : c'est tout le problème du passage de l'informatique au numérique...

L’informatique, science de la représentation et du traitement de l’information numérisée, est au coeur des activités numériques essentielles pour le pays. Elle sous-tend le numérique comme la biologie sous-tend le vivant et les sciences physiques l’industrie de l’énergie. Son impact sociétal et économique explose au XXIe siècle. L’informatisation est la forme contemporaine de l’industrialisation.

Quand les techniques industrielles ont-elles demandé de faire partie de la culture générale ? :scratch:

C’est pour cela qu’il est indispensable aujourd’hui d’initier tous les élèves aux notions centrales de l’informatique : celles d’algorithme, de langage et de programme, de machine et d’architecture, de réseau et de protocole, d’information et de communication, de donnée et de format. Cela ne peut se faire qu’au sein d’une vraie discipline informatique.

Oui, en option ou éventuellement dans une série au lycée. Pour le reste...

Et les élèves apprennent et apprendront donc des éléments de programmation car elle est l’un des grands domaines de l’informatique et car cela leur permettra d’en comprendre la nature profonde. Ensuite, ils pourront très bien ne plus écrire une seule ligne de programme de toute leur vie.

Comprendre la "nature profonde" de l'informatique, c'est peu utile pour en juger le détail... :roll:

La programmation, « excellent outil pédagogique »
Last but not least, la cerise sur le gâteau pédagogique. La programmation est un excellent outil pédagogique au service des disciplines, des enseignants et des élèves. Elle favorise l’activité intellectuelle. En effet, on constate une transposition des comportements classiques que l’on observe dans le domaine de la fabrication des objets matériels. À la manière d’un artisan qui prolonge ses efforts tant que son ouvrage n’est pas complètement terminé, un lycéen, qui par ailleurs se contentera d’avoir résolu neuf questions sur dix de son problème de mathématiques (ce qui n’est déjà pas si mal !), s’acharnera jusqu’à ce que fonctionne le programme de résolution de l’équation du second degré que son professeur lui a demandé d’écrire, pour qu’il cerne mieux les notions d’inconnue, de coefficient et de paramètre. Ce surcroît d’activité se révèle être très précieux pour des apprentissages solides. Il enrichit la panoplie des outils pédagogiques de l’enseignant.

Très curieux argument qui suppose que l'activité intellectuelle ne cherche pas la persévérance.
Dernière édition: 17 Déc 2014 13:56 par Loys.

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19 Déc 2014 13:50 #12739 par Kustolovic

Loys écrit: PS avez-vous lu le (très long) article "In coda venenum" de septembre ?

Pour répondre avec pas mal de temps. Oui j'ai pris le temps de lire l'article, très intéressant. J'aurais quelques commentaires à l'occasion, mais c'est assez long à faire ^^.
à propos de «Jean-Pierre Archambault réagit à l'interview de Colin de la Higuera» (VousNousIls) :

Pour André Leroi Gourhan, l’outil n’est rien sans le geste qui l’accompagne et l’idée que se fait l’utilisateur de l’outil de l’objet à façonner

J'adore quand ça commence ainsi. Je ne me sens pas particulièrement bête, mais j'ai beau retourner cette phrase dans tout les sens, je ne comprend pas bien sa signification et encore moins son rapport avec le sujet présent.

Loys écrit: Le souvenir du code appris à l'école risque malheureusement d'être totalement obsolète ne serait-ce qu'une décennie plus tard. Python, par exemple, n'était connu de personne il y a quinze ans...

Ajoutons à cela qu'à moins de refondre les programmes et reformer tous les profs tous les deux ans, les cours eux-mêmes risque d'être dépassés au moment où ils sont donnés.

A notre époque, par exemple, le citoyen doit savoir lire un graphique (ainsi celui de l’évolution du chômage, de la décélération de son accélération si c’est le cas) et pour cela savoir qu’une grandeur peut dépendre d’une autre grandeur. Il étudiera donc les fonctions en cours de mathématiques.

Au vu de la quantité de graphiques mensongers, erronés ou cachant des informations nécessaires, et les faiblesses d'analyses sur ces derniers, force est de constater que c'est un objectif non atteint. D'ailleurs les graphiques comme celui du chômage ne sont pas construits à partir de fonctions mais à partir de statistiques. Les erreurs communes sont justement: 1) de ramener quelques points d'un graphe à une fonction mathématique basique, 2) Mal comprendre les sources de données, les choix qui sont fait pour les sélectionner et l'implication de tout cela sur les résultats.

lors des débats sociétaux sur l’énergie, sur ce qu’il aura appris en sciences physiques ou, pour ceux à propos des OGM, sur ses connaissances en SVT.

Je ris doucement, car malgré mes cours de physique ou biologie, je me sens complètement dépassé par la physique nucléaire, les modifications du génome et leur implication. Pour ces sujet, je n'ai d'autre choix que de faire confiance à des spécialiste qui maîtrisent leur sujet.

L’Ecole initie donc les élèves aux notions fondamentales de nombre et d’opération, de chronologie et d’événement …

Donc les connaissances fondamentale du codage sont déjà acquises. ^^

L’apprentissage de l’écriture du code est ici une condition nécessaire de l’exercice de la citoyenneté.

Ainsi par la même logique, pour que les citoyens puissent donner un avis éclairé sur les questions d'OGM, on organisera des cours pratiques à l'école de bombardement de microbilles de tungstène à l'aide d'un canon à particules. Pour traiter du nucléaire, chaque collège construira son propre réacteur.

L’informatique, science de la représentation et du traitement de l’information numérisée, est au coeur des activités numériques essentielles pour le pays. Elle sous-tend le numérique comme la biologie sous-tend le vivant et les sciences physiques l’industrie de l’énergie

Ce serait plutôt le numérique, qui est un des outils de l'informatique mais bon. Avec des termes aussi flous et fourre-tout, on peut faire les parallèles les plus fous.

Et les élèves apprennent et apprendront donc des éléments de programmation car elle est l’un des grands domaines de l’informatique et car cela leur permettra d’en comprendre la nature profonde.

C'est n'importe quoi. Pour faire de la programmation il faut justement d'abord comprendre la nature profonde de l'informatique. Si beaucoup de développeurs ont appris cette nature profonde grâce à la programmation, ce n'est que grâce aux informations théoriques apprises petit à petit dans une pratique assidue de la programmation, chose qui n'est possible en milieu scolaire.

À la manière d’un artisan qui prolonge ses efforts tant que son ouvrage n’est pas complètement terminé, un lycéen, qui par ailleurs se contentera d’avoir résolu neuf questions sur dix de son problème de mathématiques (ce qui n’est déjà pas si mal !), s’acharnera jusqu’à ce que fonctionne le programme de résolution de l’équation du second degré que son professeur lui a demandé d’écrire, pour qu’il cerne mieux les notions d’inconnue, de coefficient et de paramètre.

Oui, un passionné de programmation s'acharnera, mais comme des passionnés de maths s'acharnent sur des problèmes mathématiques. Attendons d'avoir des écoliers qui détesteront cette matière pour voir si ils s'acharneront aussi.

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04 Jan 2015 22:29 #12827 par Loys

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04 Jan 2015 22:32 - 04 Jan 2015 22:34 #12828 par Loys
Communiqué de presse du 23/12/14 : "Investissements d'Avenir : lancement de l'appel à projets "Culture de l'innovation et de l'entrepreneuriat""


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Dernière édition: 04 Jan 2015 22:34 par Loys.

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04 Jan 2015 22:33 #12829 par Loys
J'aimerais bien comprendre le lien entre savoir "coder" et être "innovant". :scratch:

Les propositions d’apprentissage du code informatique concernant les enfants scolarisés dans le premier degré pourront adéquatement s’inscrire dans le cadre des activités périscolaires, notamment en lien avec la réforme des rythmes scolaires.

Il faudrait savoir ! :shock:

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