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FCPE mon amour
- Loys
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C'était déjà le cas deux jours par semaine dans la plus grosse commune ayant adopté les nouveaux rythmes en 2013 mais ça n'avait alors pas laissé un goût amer dans la bouche de Paul Raoult.Sur les rythmes, il nous a assuré que nous avions remporté une victoire. Il est vrai que la rentrée 2014 marquera l'enterrement de la semaine de 4 jours, et ça, on peut déjà s'en féliciter! En revanche, quand je pense aux élèves qui continueront de subir 3 journées de 6 heures par semaine, cette victoire a un goût amer.
L'intérêt de l'enfant, en comparaison de ce noble but, c'est secondaire.Je retiens aussi de sa visite qu'il s'est engagé à mettre en place, dès la rentrée prochaine, une semaine de la démocratie scolaire pour regrouper les élections de parents et de lycéens. Nous le demandions, pour permettre à la fois une meilleure information de tous les usagers sur la tenue de ces élections, et contribuer à l'éducation citoyenne des lycéens. Mais ça ne suffira pas, encore faut-il donner un sens à ces élections, c'est à dire donner un véritable pouvoir aux parents dans les instances où ils seront élus.
Les parents doivent donc avoir "autant de place et d'importance" que le reste de la communauté éducative.Et qu'il s'agisse du statut de parent délégué ou de la démocratie dans l'Ecole, nous n'attendons plus des discours du ministre, mais des actes ! Et vite! S'il va dans ce sens, M. Hamon donnera le gage qu'il accorde autant de place et d'importance aux représentants des parents d'élèves qu'au reste de la communauté éducative.
C'est vrai : avec des concours et des éliminations en cours de route.Mais il n'en est rien, car le collège d'aujourd'hui est construit sur un modèle élitiste.
On peut raisonnablement penser que le système éducatif a sa part de responsabilité dans l'échec scolaire. De là à penser que l'élève n'a aucune responsabilité...Il est construit sur l'idée que lorsqu'un élève est en échec, c'est d'abord de sa faute, car il n'aurait pas le bon bagage culturel, ne serait pas assez scolaire ni assez méritant ou aurait des parents démissionnaires. Au contraire, nous l'avons dit dans les ateliers, c'est d'abord l'échec de notre système éducatif !
En quoi les options seraient-elles "réservées" à un petit nombre ?En organisant le tri des élèves à travers les notes et des options sélectives réservées à un petit nombre...
Et en quoi les notes trient-elles les élèves avant l'orientation en seconde ?
C'est vrai tout se vaut : le pilier "Maîtrise de la langue française" vaut bien le pilier "Maîtrise des techniques usuelles de l'information et de la communication" !...en hiérarchisant les différentes formes de savoirs et de compétences...
Au collège ?...en hiérarchisant les voies et les filières...
Course à la performance au collège ? Concurrence entre les élèves au collège ?... au détriment de l'enseignement professionnel, en maintenant la course à la performance, en organisant la concurrence entre les élèves, les familles, les quartiers, le collège maintient et renforce les inégalités face à la réussite !
En fait 111 000 jeunes mais ça sonne moins bien, d'autant qu'il n'y en a jamais eu aussi peu...Maintenant que nous avons développé nos propositions, il faut convaincre que la réforme du collège est urgente. Inadmissible de laisser sortir 140 000 jeunes chaque année du système éducatif, sans qualification !
La mixité sociale ne se déclare malheureusement pas.C'est par la mixité sociale dans les classes et les établissements que l'on pourra lutter contre l'échec scolaire, mais aussi tirer l'ensemble des élèves vers le haut.
Avec la suppression du travail à la maison en primaire, cette liaison a été rompue...C'est par la mise en place d'une véritable école du socle, qui assure la liaison primaire/collège, que chaque jeune pourra acquérir le minimum indispensable que l'Etat doit garantir à tous.
Mais de qui parle Paul Raoult exactement avec ces allusions perfides ? Et à qui profite le naufrage de l'école dont les nouvelles pédagogies qu'il promeut sont en grande partie responsables ?Certains seront bien sûr difficiles à convaincre. D'une part, la petite poignée de privilégiés qui profite justement de ce système élitiste et qui s'en contente bien parce qu'il leur garantit leur statut économique et culturel dans la société ! ;
En même temps c'est plus facile d'avoir de l'audace quand on est parent d'élève et qu'on n'est pas face aux élèves !Et pour d'autres, pour les alliés de l'immobilisme, c'est simplement parce que changer notre modèle demande de l'audace.
La réussite de tous, c'est maintenant pourtant !Il est bien plus confortable de coller quelques pansements pour masquer l'incapacité de notre système éducatif à faire réussir tous les élèves ! Comme l'a rappelé samedi Danielle Zay, il est plus facile d'organiser la promotion de quelques-uns, que de construire un modèle qui permette la réussite de tous.
Les parents ou leur enfant ? Il faut dire les choses clairement !Et puis, à la fin du collège, il y a la question de l'orientation. On peut espérer qu'elle devienne moins douloureuse demain, grâce aux expérimentations menées actuellement sur le terrain dans une centaine de collèges. Et je suis d'accord avec toi, Sophie, le terme "dernier mot aux familles" est trop réducteur. Je préfère parler d'orientation choisie, car de nombreuses conditions sont nécessaires pour qu'elle devienne effective. Alors qu'aujourd'hui, l'orientation subie c'est l'orientation vers l'échec, reconnaître que ce sont les parents et leur enfant qui doivent prendre la décision finale, c'est une étape primordiale !
Sûr que l'orientation choisie, c'est l'orientation vers la réussite !
En l'occurrence on se demande bien où est le "partage" puisque les professionnels n'ont pas leur mot à dire...C'est réaffirmer l'importance du partage des responsabilités éducatives pour permettre à chaque jeune de préparer son avenir.
Vivement l'affectation choisie !Ce n'est pas suffisant! Après le temps de l'orientation, vient celui de l'affectation, souvent tout aussi douloureux.
Oui, vivons dans un monde idéal où les rêves des enfants déterminent les places offertes dans les lycées !Comment peut-on encore accepter que des jeunes soient envoyés vers des filières qui ne leur conviennent pas, par manque de place ? Il n'est plus possible de concevoir l'orientation des élèves en termes de places à pourvoir.
Bref l'Ecole d'une sélection plus sourde et plus sévère à la fois.L'Ecole sans sélection, celle qui combat l'élitisme, c'est aussi une Ecole sans note chiffrée, sans redoublement, sans devoirs à la maison.
Car si les parents doivent avoir des droits sur le fonctionnement de l'école, ils ne doivent avoir aucun devoir !Aaah les devoirs ! Un combat mené par les progressistes depuis des décennies. Nous dénonçons depuis trop longtemps cette sous-traitance pédagogique aux familles.
On l'a bien compris !Notre campagne "ce soir pas de devoirs" a encore hélas aujourd'hui tout son sens. Supprimer les devoirs à la maison c'est redonner du temps aux enfants, supprimer une bonne part de la pression qui s'exerce sur eux; mais aussi sur leurs parents!
En supprimant l'école on pourrait aller encore plus loin !Moins de stress, moins de fatigue, plus de temps pour jouer, pour lire, pour discuter...
De fait, avec la réforme des rythmes scolaires, les parents se déchargent du temps libre sur l'école primaire...
Voilà qui est du ressort des parents, pas de l'école...As-tu fait tes devoirs ? Il serait temps que les relations avec nos enfants ne se fassent plus seulement autour de cette question !
Quand ils n'ont plus de travail à la maison, ces élèves ne sont en revanche plus pénalisés par rapport à ceux dont les familles continuent à les aider !Pourtant, les enseignants savent très bien comment se passe le travail à la maison ! Mais malgré cela ils continuent à donner des exercices! Ils continuent à pénaliser ceux qui n'ont pas l'aide nécessaire à la maison pour faire les recherches, les exposées, apprendre les leçons, apprendre à s'organiser...
Nous ne voulons plus lire : manque de travail personnel !
Le familles privilégiées se moquent bien de cette circulaire, à laquelle elles ne sont pas tenues.Car c'est d'abord en classe qu'il faut travailler ! Les textes de l'Education nationale sont extrêmement clairs, je cite : "le travail écrit, fait hors de la classe, hors de la présence du maître et dans des conditions matérielles et psychologiques souvent mauvaises, ne présente qu'un intérêt éducatif limité. En conséquence, aucun devoir écrit ne sera demandé aux élèves hors de la classe." Et cette circulaire date de 1956!
Avec un exercice d'application, il s'agit moins de faire comprendre une notion que de l'appliquer systématiquement...Il est impératif qu'enfin les adultes entendent que ce qui n'a pas été compris en classe ne peut pas l'être à la maison.
Voilà ce qui est véritablement sous-tendu par cette exigence : la culpabilité parentale. Comment peut-on exiger de parents qu'ils se préoccupent de la scolarité de leurs enfants ?Il est impératif de mettre fin aux devoirs, de cesser de renvoyer l'échec d'un élève à sa responsabilité individuelle et familiale.
Déclinons avec la FCPE.Il est impératif que l'école réagisse par rapport à sa propre responsabilité dans le renforcement des inégalités culturelles et sociales.
Quel subtil résumé du travail des enseignants : Paul Raoult est décidément un fin connaisseur de la chose scolaire !Et à cela s'ajoutent les notes ! Le ministère a annoncé qu'il veut faire évaluer les pratiques d'évaluation. Tant mieux ! Aujourd'hui, noter les élèves se résume à contrôler si l'élève est capable de restituer le chapitre du cours qu'il a appris à la maison.
Et si ce n'est pas le cas, continuons à demander la suppression du redoublement quand même !Devoirs, notes et... on y arrive, redoublement ! La mauvaise réponse à un vrai problème : l'échec scolaire. Mais dire qu'il faut arrêter les redoublements ne suffira pas. Il faut donner aux établissements les moyens pédagogiques et financiers de remédier aux difficultés des élèves, sans les faire redoubler mais en développant des solutions alternatives.
Tout ceci n'est pas à inventer, c'est déjà du recyclé pédagogique depuis un moment, avec le succès que l'on connaît.Je pense notamment au tutorat, à la différenciation pédagogique, à l'accompagnement personnalisé en classe et tous ce qui reste à inventer!
Car c'est bien la même chose !Si nous luttons contre l'exclusion pédagogique que je viens de dénoncer, nous nous battons aussi contre l'exclusion... tout court. Vous l'aurez compris, je parle des sanctions disciplinaires.
Ben du coup en quoi est-ce "refuser d'éduquer" ?Il faut remédier à une conception de la discipline entièrement orientée vers l'exclusion des élèves. L'exclusion, c'est une non-solution ! L'exclusion définitive c'est refuser d'éduquer pour laisser cette tâche à l'établissement voisin !
Il faut donc donc considérer que l'origine populaire des élèves justifie des incivilités graves... L'immense majorité des parents et des enfants de milieu populaire qui ne commettent pas d'incivilités apprécieront.Cela ne fait que concrétiser la situation d'élèves qui, généralement, avaient déjà la sensation d'être sortis de l'école depuis longtemps. J'irai même plus loin, l'exclusion renforce les inégalités sociales, comme les inégalités scolaires, car nous savons très bien que, trop souvent les élèves issus des classes populaires en sont les premières victimes... Et leurs parents, les premiers accusés.
Tolérer les incivilités, c'est bienveillant. Il faudra le rappeler aux élèves qui subissent les incivilités d'une minorité d'élèves.Les procédures disciplinaires, c'est un chantier très symbolique pour nous. Car ce fonctionnement est symptomatique d'un système pas du tout bienveillant.
Donc en fait, c'est l'école qui est "violente" en demandant à un élève de changer d'établissement.A la FCPE, nous nous fixons un objectif : zéro exclusion ! Zéro exclusion, car c'est une solution violente, inutile, qui ne permet nullement aux élèves d'apprendre de leurs erreurs.
Quant au "zéro exclusion", il va falloir rappeler cette position officielle de la FCPE dans tous les conseils de discipline à venir, et notamment à tous les parents d'élèves.
Changer d'établissement me semble "juste et proportionné"...Les seules sanctions utiles à l'Ecole, ce sont celles qui participent à l'éducation des futurs adultes, parce qu'elles sont justes et proportionnées.
On reste dans la rhétorique creuse et la pétition de principe, sans aucune proposition concrète.Et cela passe par des procédures disciplinaires entièrement réinventées, pour qu'elles soient exemplaires et que soit mis fin à l'arbitraire. C'est vers cela qu'il faut avancer.
C'est une vraie priorité dans l'école d'aujourd'hui...Et pour faire ces propositions, nous devrons savoir ce qui se fait, au cas par cas, dans les Conseils de discipline. Nous recenserons les pratiques. Dans certains établissements, des conseils de discipline ont su s'approprier les textes pour mettre en place des dispositifs d'une grande justice. À l'inverse, des méthodes tout aussi infondées qu'inefficaces ont vu le jour. Alors je vous propose que nous travaillions à l'élaboration d'un livre noir et blanc des conseils de discipline ;
ET comment fait-on s'ils demandent tous la même ?Qu'on ne vienne pas nous accuser de vouloir « rallumer la guerre scolaire », quand nous réclamons seulement ce qui n'est que raison : que l'Etat cesse d'organiser et de financer la concurrence de sa propre Ecole, que les parents puissent, partout sur le territoire, choisir librement l'Ecole publique pour leurs enfants.
Rien sur les centaines de millions gaspillés par les rythmes scolaires ?En ces temps de crise, où le gouvernement cherche de l'argent pour financer le budget de l'Etat, les 60 000 postes dans l'Education nationale, nous jugeons, nous, qu'il y a des gisements à exploiter. Pour prolonger les calculs de Guillaume, le financement des établissements privés par l'Etat, c'est sept milliards par an ! Ajoutez-y les financements des collectivités territoriales – il n'y a pas que la loi Carle ! - et vous atteignez onze milliards ! De quoi faire de beaux projets dans l'Ecole publique...
Encore un grand combat prioritaire !Laïcité toujours, jusque dans la réforme territoriale ! On nous annonce la fusion de l'Alsace et de la Lorraine. Fort bien (ou pas). C'est une belle occasion de reposer la question du concordat de l'Alsace-Moselle, qui n'est pas en vigueur – et heureusement ! - dans la majorité des départements lorrains. Que fait-on de l'enseignement obligatoire de religion, qui prive les élèves de trois départements d'une heure de classe par semaine sur les programmes nationaux ? Que fait-on de la liberté de conscience de ces enfants ? On la piétine ?
Le discours de la FCPE n'est évidemment pour rien dans ce sombre constat.L'Ecole publique inculque des valeurs, elle a aussi des obligations. L'une d'entre elle est de s'assurer qu'il y ait au moins un enseignant dans chaque classe.
La promesse faite par le gouvernement de créer 60 000 postes dans l'Education nationale devait permettre de réparer un peu notre système éducatif. Mais les effectifs augmentent de manière significative dès la rentrée prochaine, nous voyons donc bien que la question du recrutement sera centrale pour cette année encore. Les problèmes de recrutements du mois dernier ne font que noircir un peu plus un tableau déjà bien sombre.
Une bonne façon de passer le temps libéré par la suppression de la "sous-traitance" pédagogique des devoirs à la maison : on s'occupe comme on peut...Cette question du recrutement se pose tant pour les nouveaux professeurs que pour ceux qui, demain, remplaceront leurs collègues absents. Nous ne pouvons tolérer que des élèves restent sans enseignants, que ce soit pour une heure ou pour plusieurs semaines. L'Education nationale a le devoir de remplir la mission qui lui est confiée par la République, celle de la continuité du Service public.
Parce que nous refusons cet état de fait, nous rénoverons le site ouyapacours. Cet outil est le vôtre. Il est à votre service pour que vous puissiez collecter toutes les heures perdues, chiffrer le montant de la dette de l'Education nationale vis-à-vis de nos enfants.
Le titre de ce site est délicieusement anti-enseignant, même si la responsabilité de leur non-remplacement en cas d'absence ne leur est en rien imputable.
Ou parlons à leur place comme nous le faisons depuis toujours !Continuons à travailler avec les associations d'éducation populaire, allons chercher les parents les plus éloignés de l'Ecole et donnons-leur la parole!
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La proximité de ce programme avec les positions de la FCPE, telles qu'elles apparaissent dans les discours de Raoult, est frappante. Personne n'a relevé, ni sur ce fil, ni ailleurs.
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- Loys
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- Loys
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Et surtout une formule qui nous fait sourire sur La vie moderne : "La souffrance scolaire, mythe utile".En concluant son intervention, B. Hamon a invité la Fcpe à "travailler ensemble pour que chaque enfant se sente chez lui à l'école", une formule à laquelle ne pouvait que souscrire la Fcpe.
Si la Fcpe et le ministre partagent la volonté de réduire les exclusions, comme en témoigne la récente circulaire sur les sanctions, nul doute que le ministère de l'éducation nationale voit d'un mauvais œil un dispositif qui éclairera les cotés sombres de l'ordre scolaire.
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- Loys
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Quelles (sic) sont les droits des lycéens pendant le baccalauréat ? Comment réagir en cas d'accusation de fraude ?
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- Loys
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On peut même dire qu'il a déployé des efforts démesurés. Par exemple un élève qui a appris 6 verbes irréguliers au lieu de 4 a fait beaucoup plus d'efforts qu'un élève qui a appris 16 verbes au lieu de 14 !Paul Raoult écrit: Un élève qui a 4, par exemple, et après a un 6 : c'est encore pas terrible. Seulement il a fait 50% d'efforts pour arriver à ça.
Mais il y en a à partir de treize ans et ensuite l'entrée au lycée est bien plus sélective qu'en France, sans parler de l'entrée à l'université. D'après l'OCDE les élèves sont bien plus malheureux à l'école que les élèves français, et le taux de suicide des adolescents y est trois fois supérieur.Paul Raoult écrit: Si je prend la Finlande par exemple, il n'y a aucune évaluation chiffrée avant l'âge de treize ans.
Bon, le savoir sur Internet, passons... Même en supposant qu'il faudrait évaluer seulement "qu'est-ce que l'élève fait du savoir qu'il a" (sic), quel rapport avec la suppression des notes ?Paul Raoult écrit: Aujourd'hui le savoir, il est sur internet, tout le monde peut accéder au savoir, c'est qu'est-ce que l'élève fait du savoir qu'il a, c'est ça qui est important et c'est ça qu'il faut évaluer et ça ne peut pas être évalué juste à partir de notes.
Bien sûr : le conseil de classe prend toujours ses décisions en se fondant sur les centièmes de points. Et le redoublement, c'est un bon exemple de l'impitoyable sélection qui s'exerce chaque année un peu plus dans le monde malveillant du collège.Paul Raoult écrit: Les notes aujourd'hui en France c'est juste pour sélectionner les élèves : on fait une moyenne, et puis une moyenne de moyenne qui ne veut rien dire du tout. Celui qui a 8,75 il va passer dans la classe supérieure et celui qui a 7,99 il ne passe pas.
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Bravo pour ce décryptage génial de la scandaleuse propagande de la FCPE !
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- Messages : 11
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- Loys
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Quand un prix passe de 17 euros à 15 euros, la baisse n'est pas de 2% mais de 11%.modigliani écrit: Je ne saisis pas pourquoi vous dites une " baisse de 10%" (17_15 cela fait bien 2...).
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- Loys
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